Laurence B. Libraire
Notre vie dans les forêts

Une femme, cachée dans la forêt, nous parle. Elle n’a que peu de temps pour nous raconter son histoire, car son monde et son corps s’écroulent. Sa parole, urgente, est envoûtante. Elle nous embarque de bout en bout dans un récit dont les causes et les conséquences se dessinent simultanément. Marie Darrieussecq nous offre une dystopie dans la lignée de "1984" ou "Fahrenheit 451". Un texte troublant et bouleversant. Une piste de réflexion sur notre monde actuel.

Librairie Test L. Libraire
Notre vie dans les forêts

Une femme, cachée dans la forêt, nous parle. Elle n’a que peu de temps pour nous raconter son histoire, car son monde et son corps s’écroulent. Sa parole, urgente, est envoûtante. Elle nous embarque de bout en bout dans un récit dont les causes et les conséquences se dessinent simultanément. Marie Darrieussecq nous offre une dystopie dans la lignée de "1984" ou "Fahrenheit 451". Un texte troublant et bouleversant. Une piste de réflexion sur notre monde actuel.

Elizabeth P.

Dans un futur indéterminé, une femme psychologue est en fuite dans une forêt avec d’autres congénères.
Elle écrit dans un carnet, sa vie, ses souvenirs, sa moitié…..
On est dans un monde où les robots sont rois, où le clonage est une institution.
C’est un monde impitoyable où règne l’intelligence artificielle, où la manipulation génétique est monnaie courante.
Même si je ne suis pas fan de science-fiction, j’ai beaucoup aimé ce livre.
Particulièrement le style, le ton, l’humour, la manière familière d’écrire dans le carnet.
Comme ça, de prime abord, je l’aurais qualifié de court roman de science-fiction, ou d’anticipation.
Mais après un rapide coup d’œil sur les autres commentaires, je vois qu’on dit maintenant « dystopie ». Wouah ! ça fait genre !
Pratiquement tous les lecteurs utilisent ce terme. Et dire que je ne le connaissais pas. Quelle inculte je fais ! Mais c’est sûr, je le replacerai, rien que pour faire ma connaisseuse.
Et même le correcteur d’orthographe, il ne connait pas. Ouf, il n’y a pas que moi.

Elizabeth P.

Dans un futur indéterminé, une femme psychologue est en fuite dans une forêt avec d’autres congénères.
Elle écrit dans un carnet, sa vie, ses souvenirs, sa moitié…..
On est dans un monde où les robots sont rois, où le clonage est une institution.
C’est un monde impitoyable où règne l’intelligence artificielle, où la manipulation génétique est monnaie courante.
Même si je ne suis pas fan de science-fiction, j’ai beaucoup aimé ce livre.
Particulièrement le style, le ton, l’humour, la manière familière d’écrire dans le carnet.
Comme ça, de prime abord, je l’aurais qualifié de court roman de science-fiction, ou d’anticipation.
Mais après un rapide coup d’œil sur les autres commentaires, je vois qu’on dit maintenant « dystopie ». Wouah ! ça fait genre !
Pratiquement tous les lecteurs utilisent ce terme. Et dire que je ne le connaissais pas. Quelle inculte je fais ! Mais c’est sûr, je le replacerai, rien que pour faire ma connaisseuse.
Et même le correcteur d’orthographe, il ne connait pas. Ouf, il n’y a pas que moi.

Céline V.

Un style moderne, percutant et sensible au service de l'histoire déroutante et captivante d'une jeune psychologue qui prend place dans une société de plus en plus en plus angoissante et mystérieuse ...
Maelenn, 15 ans

o n l a l u
Le pire des mondes

Marie Darrieussecq publie une dystopie qui n’est pas sans évoquer les précurseurs du genre, Ray Bradbury ou George Orwell : dans une société hyper connectée sous surveillance, les humains épuisent la terre et jouent aux apprentis sorciers. Mais c’est par son écriture pleine d’humour, sa narration de l’urgence et ses personnages originaux que ce roman se distingue.

**Le monde de Viviane**

La narratrice, qui se fait appeler Viviane pour brouiller les pistes, survit dans une forêt (pour combien de temps ?) avec une communauté de fuyards.

Lire la suite de la critique sur le site o n l a l u