Gwenaëlle

Piero Colaprico est un écrivain et journaliste qui fait partie de la nouvelle garde du roman noir à l’italienne. Un roman noir où l’action compte parfois moins que la psychologie (je pense aux romans de Carofiglio par exemple). C’est le cas ici aussi, avec parfois un humour qui n’est pas sans rappeler les tirades montalbanaises de notre commissaire sicilien préféré…

La mallette de l’usurier clôt la trilogie initiée par La dent du Narval et poursuivie par Derniers coups de feu dans le Ticinese. Points communs : l’inspecteur Bagni et une ville, Milan, en pleine transformation. En toile de fond, l’Italie de Berlusconi, entre mafia et affairisme…