Bouh

Lorsqu’il aperçoit pour la première fois la jeune et belle princesse Zinaïda, Vladimir Petrovich Voldemar (qui, traumatisé par ce livre, deviendra plus tard l’affreux-méchant d’une célèbre saga pour ados) s’épanche sur plusieurs dizaines de pages afin de nous décrire sans rien omettre ce que n’importe quel autre boutonneux aurait pu expédier en parlant de « coup de foudre ».