o n l a l u
Le mari qui venait du froid

Une nouvelle signature dans la confrérie des agents de la CIA passés à l’écriture. Un profil inédit qui vient s’intercaler entre les fictions vibrantes de vécu d’un Robert Baer (« Syriana » ou « RED » au cinéma) ou d’un Jason Mathews ( « Le Moineau Rouge ») et les best-sellers formatés, sans lien avec leur passé, d’un Barry Eisler ou d’un Joseph Finder. Karen Cleveland, à en croire ses éditeurs, a travaillé huit ans au sein de la « Centrale » en tant qu’analyste, un poste de geek où l’on croise, recoupe, extrapole les fruits du renseignement humain et des écoutes électroniques. Son expérience lui a servi à planter le décor. Dans un service similaire à celui qui l’employait, elle a situé une intrigue assez bateau, façon « thriller domestique » : l’histoire du mari qui n’est pas celui qu’il prétendait.

Lire la suite de la critique sur le site o n l a l u