Michaël L.
Captivant huis clos maritime

La météo est menaçante mais l'attrait d'une pêche miraculeuse incite deux mexicains à prendre la mer sur un petit bateau, une barcasse. Plus forte que prévue, la tempête surprend le pourtant expérimenté Bolivar qui a entrainé le jeune Hector dans une expédition désespérée et illusoire. Peu à peu, la faim, la folie, la soif et la terreur les guettent : l'étau se resserre, le mode survie s'enclenche. Débute alors un terrible face-à-face avec eux-mêmes. Avec ce roman lyrique, intense et quasi hallucinatoire, Paul Lynch rejoint Conrad, Melville ou Hemingway au panthéon des grands auteurs maritimes.

François-Régis SIRJACQ (Libraire)
Décidément Paul Lynch est un grand écrivain

Dans une région sud- américaine, une tempête est annoncée : Bolivar, pêcheur invétéré, veut persuader Hector de l’accompagner : pour cela, il va faire tomber les dernières résistances de celui-ci et l’invite à prendre la mer avec lui. Cependant la mer est impitoyable et les voilà prisonniers de l’immensité de l’Océan Pacifique. Intimité oblige sur une embarcation, celle-ci va souder nos 2 compères, et ce malgré les limites de l’espérance, voire la foi. Ce face à face est énorme, passionnant. Paul Lynch, avec talent, explore à merveille la condition humaine, rejoignant ainsi le grand Ernest Hemingway.
Décidément Paul Lynch est un grand écrivain.

Michaël P.

Deux hommes partent en mer pour une pêche inconsidérée et se retrouvent prisonniers d'un Pacifique qui s'impose comme un personnage à part entière.
Un huis clos brutal et poétique digne d'un Hemingway.
"Bolivar ne s'en rend pas compte tout de suite - il a cessé de mesurer le temps ... son esprit sombre dans la torpeur".
Attention, chef-d’œuvre !

Pascale B.
Huis-clos maritime

Deux pêcheurs sud-américains rencontrent un ouragan en mer et se retrouvent isolés et perdus en mer……
Les deux hommes se découvrent et se racontent peu à peu. Bolivar est caustique et indolent, le jeune Hector malhabile.
Alors qu’Hector, non armé face à la situation, déprime ; son compagnon se surpasse organisant les journées et la survie.

La mer devient titanesque et intemporelle, incertaine ; la tension du huis clos montre progressivement dans la promiscuité et le questionnement du devenir.

La croyance, contrairement au désespoir, contribue aux chances de survie

Dans ce texte de survie émouvant, philosophique, réfléchi, Lynch arrive à combler de mots cette solitude, sans ennui pour le lecteur.

Beau texte à l’écriture altruiste.