Morris Schutt a depuis toujours divulgué le caractère intime de sa famille dans ses chroniques qui connaissent le succès. Mais depuis la mort de son fils en Afghanistan ses papiers sont sans saveur et tristes. Mis en congé pour rependre du poil de la bête, Morris essaie de se rapprocher de ses filles, noue une relation épistolaire avec une femme dont le fils est mort également à le guerre, sort avec des escort girls et recherche à travers les grands philosophes la définition du bonheur.
La culpabilité de n’avoir pas su empêcher son fils de rejoindre l’armée ronge ce cinquantenaire à qui tout à toujours réussi. Enfin à peu près car sa famille n’a jamais acceptée le fait d’être l’inspiration de ses chroniques. Au lieu de ressouder les liens familiaux, la mort de Martin les a distendus.