Céline V.
Un livre en gourmandise

Carole Martinez reste fidèle à sa belle écriture et ses thèmes de prédilection. Avec la Terre qui penche, on retrouve le domaine des Murmures de son dernier roman, les châteaux forts, les seigneurs, la rivière qui serpente...
Le lecteur chemine avec Blanche qui raconte son histoire, alternativement avec ses yeux d'enfant de 12 ans puis avec ceux, plus aguerris, de son âme qui a vieilli de six siècles. Un roman finement brodé, un conte où se côtoient le réel et l'imaginaire, servi par une écriture qui nous enchante et nous émerveille... Ce livre est une vraie gourmandise!

Brian F.
Un joli coup de cœur !

Une fable médiévale toute enchantée dans laquelle la violence s'allie à la finesse. Un joli coup de cœur et un bonheur à sa lecture !

François-Régis SIRJACQ (Libraire)

Blanche est morte en 1361, à l’âge de 12 ans : pourtant c’est elle qui nous parle (elle ou son âme ?). Elle nous raconte son sort funeste : parée de ses plus beaux habits, elle s’enfonce, guidée par son père, homme rustre, dans la forêt profonde. Elle se persuade qu’on l’offre au diable : en échange, les mauvais sorts qui s’abattent sur son pays seront conjurés. Pourquoi veut-on la marier, qui était cette mère qu’elle n’a jamais connue, et ce père, tant admiré et si terrible aujourd’hui ? Et cette rivière, la Loue, est-ce elle qui façonne les destins ? Roman initiatique, peut-être, grand roman sûrement.