Virginie M.

Ce livre est bien plus original qu'il n'y paraît. Il s'agit d'abord du recueil autobiographique d'une femme, écrivain, dans les années 30. Au fil des pages, se dessine le deuil d'une mère, les souvenirs, le manque, le long chemin vers l'acceptation. L'écriture très touchante et la succession de chapitres très courts rythment la lecture et accentuent l'intensité émotionnelle. Puis, on se rend compte que ce livre n'est pas tout à fait ce qu'il paraissait être au départ. L'originalité de cet ouvrage réside dans le procédé d'écriture qui s'avère une véritable prouesse tant la narration est fluide et cohérente. L'universalité de l'émotion prend ici tout son sens.

Charline B.
Pépite!

Objet littéraire de cette rentrée, ce 1er roman écrit à 36 mains tient sa promesse.
Sur le fil ténu de l’émotion, le style sensible et pudique aborde le sujet du décès d’un enfant et le ressenti de sa mère, écrivaine.
Difficile mais la langue est magnifique.

Vanille P.
Vivre près des tilleuls...

Ce roman, c'est tout l'amour d'une mère. Et la souffrance causée par la perte. Ces dix-huit plumes, qui à la lecture, n'en font plus qu'une, nous font vivre et ressentir le pire. De la meilleure façon qui soit: avec talent. Un texte d'une grande beauté, criant de vérité, que l'on lit d'une traite et qui prend aux tripes.