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Et puis, un jour, nous perdons pied
Gallimard
Connaissance de l'Inconscient - Le principe de plaisir
Présentation
Voici le livre d'un psychanalyste qui ne prétend ni renouveler la métapsychologie freudienne ni fabriquer de nouveaux concepts. Son auteur a préféré nous inviter à l'accompagner dans sa promenade incertaine. Avec lui nous devenons des «détectives flâneurs». En cours de route, nous rencontrons Icare et le tableau de Bruegel : l'envol et la chute - c'est un des thèmes du livre -, mais aussi des héros de l'Iliade comme Achille et Hector, et, plus surprenant, des personnages de films, de dessins animés, de récits de science-fiction, ou des écrivains chers à l'auteur comme Cortázar, Walter Benjamin, Sebald. «Je pense à ceci», «Cela me fait penser à...» : la pensée avance sur un mode associatif, non linéaire, et du coup suscite chez le lecteur d'autres associations. Freud n'est pas absent - ce qu'il nous a appris sur la fonction de l'idéal, sur le deuil, la perte, la douleur - ni les séances d'analyse quand le sol se fissure et semble trembler sous nos pieds. La légèreté et la gravité peuvent aller de pair, souvenons-nous de la démarche, proche de la danse, de Gradiva, pour peu que le style de l'écrivain, à la fois délicat et ferme, soit au rendez-vous.
Né à Lima, Miguel de Azambuja exerce la psychanalyse à Paris. Il est membre du comité de rédaction de la revue semestrielle penser/rêver. Et puis, un jour, nous perdons pied est son premier ouvrage.
Caractéristiques
| EAN13 | 9782070128716 |
|---|---|
| ISBN | 978-2-07-012871-6 |
| Éditeur | Gallimard |
| Date de publication | 1 mars 2010 |
| Collection | Connaissance de l'Inconscient - Le principe de plaisir |
| Nombre de pages | 144 |
| Dimensions | 18,4 x 11,8 x 1,2 cm |
| Poids | 140 g |
| Langue | français |
| Code dewey | 801.92 |
| Fiches UNIMARC | S'identifier |
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