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Le Dernier thriller norvégien
De Luc Chomarat
Manufacture de livres
Littérature
Présentation
Delafeuille, l’éditeur parisien, débarque à Copenhague pour y rencontrer le maître du polar nordique, au moment même où la police locale est confrontée à un redoutable serial killer : l’Esquimau. Coïncidence ? A peine installé à l’hôtel avec le dernier roman de l’auteur, Delafeuille découvre que la réalité et la fiction sont curieusement imbriquées… et qu’il pourrait bien être lui-même, sans le savoir, un personnage de thriller nordique.
Tueur fou, flics au bord de la crise de nerfs, meubles Ikéa, livre à tiroirs, tempête de neige, ours polaires, Sherlock Holmes et la petite fille aux allumettes : Luc Chomarat nous livre une épopée littéraire jubilatoire, un tour sur le grand huit où le rire le dispute au vertige.
Caractéristiques
| EAN13 | 9782358874922 |
|---|---|
| ISBN | 978-2-35887-492-2 |
| Éditeur | Manufacture de livres |
| Date de publication | 6 juin 2019 |
| Collection | Littérature |
| Nombre de pages | 208 |
| Dimensions | 20 x 14 x 1,6 cm |
| Poids | 254 g |
| Langue | français |
| Fiches UNIMARC | S'identifier |
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Alex-Mot-à-Motsphysique quantique, policierDelafeuille, l’éditeur parisien, débarque à Copenhague pour y rencontrer le maître du polar nordique, au moment même où la police locale est confrontée à un redoutable serial killer : l’Esquimau.
Coïncidence ? A peine installé à l’hôtel avec le dernier roman de l’auteur, Delafeuille découvre que la réalité et la fiction sont curieusement imbriquées… et qu’il pourrait bien être lui-même, sans le savoir, un personnage de ce thriller nordique.
Tueur fou, flics au bord de la crise de nerfs, meubles Ikéa, livre à tiroirs, tempête de neige, ours polaires, Sherlock Holmes et la petite fille aux allumettes : l’auteur nous livre une épopée littéraire jubilatoire sur fond de physique quantique.
Je me suis régalée avec les noms pleins de consonnes et l’inspecteur Bjonborg, les personnages qui semblent inventés au fur et à mesure et qui reprennent des stéréotypes. Mais l’action se déroule-t-elle à Copenhague ?
En tout cas, la Carlsberg coule à flot, les personnages masculins ont tous la mâchoire carrée, les épaules larges et le poil ras, et Andersen est le plus grand génie de la littérature.
J’ai aimé les réflexions des personnages sur la future littérature digitale : avenir ou fléau ?
Bref, un excellent moment de lecture qui revigore les méninges.
L’image que je retiendrai :
Le personnage principal a une attirance particulière pour l’ASSE.
Quelques citations :
Si Bach avait pu de mander son avis à tout le monde, nous n’aurions pas cette merde de Clavier bien tempéré. (p.132)
Cela nous rappelle que l’écriture est le lieu de tous les possibles, et pas celui d’un exercice comptable comme on essaie de nous le faire croire aujourd’hui. (p.141)
Notre ami Grundozwhzson, apparemment marqué par les travaux de Niels Bohr, semble avoir pris sur lui d’appliquer certains des présupposés de la mécanique quantique au thriller, notamment le principe de superposition et le principe d’incertitude. (p.196)
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