Ainsi pleurent nos hommes
Philippe Rey
Littérature française
Présentation
Un premier roman magistral qui raconte la dérive de l'histoire d'amour entre Erika et Vincent au Rwanda, 25 ans après le génocide des Tutsis.
Kigali, 2018. Depuis sa rupture avec Vincent, Erika vit sur un fil, et écrit à sa sœur pour " exorciser de son corps " un amour-dévastation qui l'habite toujours. Elle raconte son histoire, mais également celle des êtres fragiles auxquels elle est attachée, qui eux aussi tentent de vivre. Avec James, son frère second hand, Manzi, le séduisant karatéka, Maman Colonel, Tonton Damas, les cœurs débordants comme la mousse des bières décapsulées au bar L'Église, ils reconstruisent une nouvelle famille qui illumine ce roman.Du Rwanda, pays aux mille collines florissantes, où après le génocide des Tutsis chacun a été forcé de tourner la page, Dominique Celis montre que derrière la rhétorique officielle d'unité nationale chacun a " incarcéré ses peines à perpète ". Des blessures sans cesse ravivées lorsqu'on peut croiser les bourreaux d'hier au détour d'une station-service ou sur la rive calme du lac Kivu...Dans ce saisissant premier roman, Erika fait le récit d'un amour qui tente de résister à la fatalité tragique héritée du passé. Même lorsque Vincent se sépare d'elle, leur passion charnelle ne faiblit pas, et c'est une femme vibrante de regrets, encore taraudée par le désir, qui rédige ces lettres splendides, puisque sur sa peau " rien ne veut s'effacer ".
Caractéristiques
EAN13 | 9782848769592 |
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ISBN | 978-2-84876-959-2 |
Éditeur | Philippe Rey |
Date de publication | 25 août 2022 |
Collection | Littérature française (1) |
Nombre de pages | 284 |
Dimensions | 22 x 14,6 x 2 cm |
Poids | 332 g |
Langue | français |
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Ce qu'ils en pensent
Voir toutErika vit à Kigali. Elle ne se remet pas de sa rupture et accepte d'écrire à sa sœur pour « exorciser son corps ». Elle raconte sa vie de tous les jours, son repère où elle rejoint ses amis proches, ses « bavandimwe » ou encore ses colocs « sœurs de cœur ». Dans une écriture poétique, elle parle de désir, d'amour et d'amitié avec, en inévitable toile de fond, le traumatisme du génocide rwandais.
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