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Présentation
Novembre 2021. Julien Perrault vient d'être nommé chef de la police de Montmorts, village isolé desservi par une unique route. Alors qu'il s'imaginait atterrir au bout du monde, il découvre un endroit cossu, des rues d'une propreté immaculée, un système de surveillance dernier cri.
Mais quelque chose détonne dans cette atmosphère trop calme. Est-ce la silhouette menaçante de la montagne des Morts qui surplombe le village ? Les voix et les superstitions qui hantent les habitants ? Les décès violents qui jalonnent l'histoire des lieux ?
Dans la lignée des Refuges, ce thriller stupéfiant vous fera douter de vos certitudes à chaque page. Un nouveau coup de maître.
Jérôme Loubry est un fin manipulateur. On flirte parfois avec le fantastique et ça fout la trouille ! Mais on adore ça. Le Parisien - Aujourd’hui en France.
Oppressant à souhait, parfaitement mené et construit de manière habile pour un excellent moment de lecture. Page des libraires.
Caractéristiques
| EAN13 | 9782253937838 |
|---|---|
| ISBN | 978-2-253-93783-8 |
| Éditeur | Le Livre de poche |
| Date de publication | 4 janvier 2023 |
| Collection | POLICIERS & THR (1) |
| Nombre de pages | 416 |
| Dimensions | 17,8 x 11 x 1,8 cm |
| Poids | 215 g |
| Langue | français |
| Langue d'origine | français |
| Fiches UNIMARC | S'identifier |
Ce qu'ils en pensent
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Alex-Mot-à-MotspolicierJe découvre l’auteur avec ce roman daté de 2021, et je suis sous le charme.
J’ai dévoré ce pavé de 414 pages (grand format) en quelques heures tant je ne pouvais pas lâcher les personnages ni ce village si spécial.
J’ai aimé rêver dans ce village où tout est neuf et reluisant, le commissariat flambant neuf et les habitants sans problèmes.
J’ai aimé le personnage du lecteur qui porte plainte contre la bibliothécaire car elle ne possède pas un certain livre.
J’ai aimé avoir peur du vent dans les saules qui n’annonce rien de bon pour les personnages.
J’ai été étonnée de découvrir que les habitants connaissaient par coeur certaines pièces de William Shakespeare. Et la bibliothèque immense n’explique pas tout.
J’ai eu de la peine pour Le squelette, Loïc le conducteur du bus scolaire, moqué par les adolescents qu’il descend au collège dans la ville voisine.
J’ai aimé le chef de la police qui garde la tête sur les épaules en pleine tempête pendant une nuit plus que difficile où tous les meurtres ont lieu.
J’ai cherché la substance chimique diffusée dans l’air qui aurait pu provoquer des hallucinations, et je dois dire que j’ai été scotchée par l’explication finale.
Un roman et des personnages qui se jouent du lecteur, j’adore ça.
L’image que je retiendrai :
La phrase tant répétée « Ceci n’est qu’un flocon de neige ».