"Général De Bollardière:"Non à la torture"

  • Karine L. Libraire
    "Général De Bollardière:"Non à la torture"

    La collection "Ceux qui ont dit non" évoque le combat d'hommes et de femmes portés par la conviction de leurs idées, qui ont lutté pour les droits des hommes, leur liberté, leur dignité.
    Chaque livre s'articule en deux temps: un récit fictif fidèle à l'histoire puis un petit dossier complémentaire agrémenté de photos, de textes présentant d'autres personnes qui se sont illustrées dans un combat similaire.
    Découvrez dans cette collection:
    - Lucie Laubrac "Non au nazisme"
    - Victor Jara "Non à la dictature"
    -Rosa Parks "Non à la discrimination raciale"
    -Victor Hugo "Non à la peine de mort"
    -Joseph Wresinski"Non à la misère"
    Les deux dernières parutions:
    -Simone Weil "Non aux avortements clandestins"
    -Général De Bollardière " Non à la torture".
    Cette collection s'adresse aux adolescents.

Chocolat amer

  • Karine L. Libraire
    Chocolat amer

    Chocolat amer est l'histoire d'un amour contrarié se situant au Mexique durant la révolution.
    Tita ne peut épouser Pedro à cause d'une tradition familiale à laquelle sa mère est très attachée et se porte garante. Mais les deux tourtereaux ne l'entendent pas de cette oreille.
    Tita, cordon-bleu dont la réputation n'est plus à prouver, voit ses talents culinaires se modifier quelque peu et agir de façon étrange sur ceux qui goûtent à ses plats succulents...
    Hymne à la vie et à ses plaisirs, hymne à l’amour, ce roman pétri par le Réalisme Magique est un vrai régal ! Chaque chapitre s’ouvre sur une recette réalisée par Tita, accompagnée de conseils judicieux. On y trouve également des recettes de grands-mères tels que le secret pour lutter contre la mauvaise haleine !
    Le roman fut adapté au cinéma sous le titre « Les épices de la passion ».

Etonnant !

  • Karine L. Libraire
    Etonnant !

    Voici un livre étonnant : il s’agit d’un roman composé de neuf histoires qui pourraient faire office de nouvelles. Mais le tour de force de l’auteur réside dans la construction : Kehlmann utilise comme procédé littéraire récurrent la mise en abyme. Ainsi, chaque histoire fonctionne comme une caisse de résonances. L’auteur affectionne particulièrement les thèmes du double, de l’imposture qui participent à brouiller les repères du lecteur qui ne cesse de s’interroger… jusqu’au point final ! L’univers de ce jeune auteur allemand qui joue avec les codes narratifs et s’amuse à perturber son lecteur est à découvrir. Mention spéciale au personnage de Rosalie.

  • Karine L. Libraire

    Que fait-on lorsqu'un prof nous prend au dépourvu en nous posant la question suivante : « Quel sera le sujet de votre prochain exposé ? » et qu'on est terrorisé à l'idée de s'exprimer devant sa classe ? Acculé, peut-être choisit-on la première idée qui nous traverse l'esprit sans vraiment mesurer les conséquences de ses paroles.C'est en tout cas ce que fait Lou, timide adolescente de treize ans, toute chétive, intellectuellement précoce, dont l'étude portera sur les femmes sans domicile fixe. Et Lou ne se contentera pas de statistiques ou de théories : elle ira sur le terrain, arpenter les rues afin de recueillir des témoignages.C'est ainsi que Lou fait la connaissance d'une jeune fille à peine plus âgée qu'elle : No. A force de patience et de détermination, Lou apprivoise No, découvre son quotidien.Une fois la copie rendue, Lou ne parvient pas à réintégrer « sa vie d'avant », à se détacher de No, à faire comme si cette rencontre n'avait eu aucune incidence sur sa vie. Animée d'une farouche volonté, Lou, cette gamine cérébrale qui lutte contre le fatalisme des adultes, va tenter d'aider son amie coûte que coûte. "No et moi" est un roman comme on souhaiterait en lire plus souvent, qui contourne avec brio les clichés et la noirceur attendus par son sujet. En témoignent la multitude de questions que Lou se pose - et qui n'auraient même pas effleuré l'esprit du lecteur, ses collections (de mots, d'emballages de surgelés, « de toutes sortes de trucs ») et ses remarques affûtées sur le monde qui l'entoure : des moments de pure drôlerie.

  • Karine L. Libraire

    Une narratrice anonyme, jeune femme passive qui se laisse guider par les choix que prend son entourage pour elle, épouse Sylvain, violoniste médiocre. S'installe alors la banalité du quotidien, sans surprise, rythmée par les monologues intérieurs de notre narratrice, remarques acerbes et désabusées. L'enfant désiré apparaît, mais ne parvient pas à chasser le malaise qui s'empare progressivement de cette jeune femme qui se sent abandonnée de tous, délaissée par son mari, exclue de son univers professionnel, et se retrouve seule face à ses nouvelles responsabilités de mère. Survient alors le drame, l'impensable, l'acte le plus abject qu'une mère puisse commettre. Le roman peu consensuel, voire dérangeant, aborde un sujet tabou : celui de la maternité endurée, subie plutôt qu'épanouissante.