1946, Maggie O’Neill, petite-fille de suffragette, fille de féministe, relève la tête pour affronter son destin. Une épreuve de vie l’oblige à entrer au service des Lyon-Thorpe. Pour la jeune femme passionnée, éprise de liberté, de rêve d’Amérique, le monde des Lyon-Thorpe est loin de ses aspirations, pourtant, son destin, son combat pour retrouver la liberté (« sa » liberté) va se jouer dans «l’Aile des Vierges», chez les Lyon-Thorpe…
Après Miss Cyclone, Laurence Peyrin offre avec le destin de Maggie un voyage dans une époque différente, du fabuleux manoir du Kent aux rues de New York -chères à l’auteure. La romancière emporte le lecteur dans une histoire captivante, dans laquelle un soupçon de Dowton Abbey, Out of Africa ainsi que d’Autant en emporte le vent sont savamment incorporés !
«Pourquoi je n'ai pas écrit de film sur Sitting Bull» est un véritable voyage littéraire. L'auteure nous emporte avec ce récit dès plus personnel (sa rencontre avec le chamanisme) dans un voyage passionnant !
Il n'y a jamais de la part de Claire Barré la volonté d'endoctriner, seulement celle de se saisir de ce sujet, de son expérience, afin d'expliquer les chemins empruntés pour trouver des réponses à ces différentes «rencontres» avec Sitting Bull.
De ses premiers stages parisiens à son séjour dans la petite ville de Deadwood, la romancière offre un récit dès plus intime. Avec ce sujet délicat, personnel, Claire Barré prend un risque, celui d'entendre le scepticisme et les railleries, or ce récit n'est qu'une façon différente de voyager. Un périple initiatique qui ne peut inspirer que de la bienveillance face à une expérience de vie différente, face à la souffrance d'un peuple dépossédé de ses terres et sacrifié, face à ce couple si touchant que forme ses hôtes : Ernie et Sonja.
En Inde, Smita est née dans une misère totale. Un travail ? Oui, celui le plus ingrat, le plus repoussant de tous, celui qu'elle devra transmettre, sa caste ne lui permettant pas d'envisager un avenir meilleur pour la petite Lalita.
Montréal. Une vie avec un rythme effréné nécessitant une organisation parfaite, c'est celle de Sarah, avocate renommée. Celle-ci attend avec impatience sa prochaine promotion au sein du Cabinet pour lequel elle a tout sacrifié, ces dernières années.
En Sicile, Giulia est une jeune femme gardienne d'un savoir-faire ancestral dans l'atelier familial géré par son père. L'accident de celui-ci va remettre son avenir en question. Elle va ouvrir ses ailes, avec une farouche envie de vivre, et d'oser.
Laetitia Colombani offre un voyage littéraire captivant ! Les trois voix de «La tresse» nous rappellent à chaque instant combien ces femmes mènent un combat universel, celui de sortir d'une vie cruelle ou d'une période de souffrance intense, afin de gagner la bataille pour obtenir un avenir plus doux, à l'image de celui imaginé par Smita, pour sa petite fille, par Sarah, pour son combat contre la maladie, par Giulia, qui souhaite déployer ses ailes...
Vingt ans d'union avec un public toujours présent, des amis, de l'argent ; Léo Rivière est une Reine dans sa tour d'ivoire. Bouleversée par un drame personnel, la Reine perd (en coulisse) peu à peu de sa superbe, rembobine le film de sa vie, car l'adrénaline d'un métier fait de paillettes et d'hypocrisie, laisse soudain la place à une grande lassitude...