ALEXANDRINE

Biographie

Je fus, et reste une grande lectrice, avant même de me consacrer à l'écriture sous des formes variées (journalisme et édition).

Dans ma maison, en Aquitaine, les livres sont partout… Ils font partie non pas des meubles mais des amis qui la peuplent.

Si j'étais un livre, je serai "Le tour du malheur" de Joseph Kessel, "Cent ans de solitude" du grand Gabriel Garcia Marquez ou encore "Water Music" de T. C. Boyle…

VIVA DEVILLE !

  • Alexandrine
    VIVA DEVILLE !

    Pendant dix ans, le lauréat 2012 du prix Fémina s’est plongé dans les œuvres de Trotsky, de Lowry et d’autres écrivains venus se perdre ou se retrouver au Mexique. Chemin faisant, il en viendra à « pince(r) des liens, dévide(r) des bobines, tisse(r) des liens » (p.30) entre ces hommes et ces femmes. Le résultat de ce patient labeur est un livre dense et exigeant.

Un roman qui prend aux tripes

  • Alexandrine
    Un roman qui prend aux tripes

    Avec ce quatrième roman dédié à son grand-père Cherokee, David Vann clôt un cycle autobiographique débuté avec Sukkwan Island (Prix Médicis étranger 2010). "Ce roman consume les derniers éléments qui, à l'origine, m'ont poussé à écrire : les récits sur ma famille et sa violence", écrit David Vann dans sa postface. Une violence assumée à laquelle bêtes et hommes doivent se plier. La loi de Dieu. La loi des hommes. La loi du clan. La loi du plus fort. Goat Mountain fait partie de ces romans qui laissent un goût de fer dans la bouche. Un goût de bile. Un goût d'irréparable, jamais expié.

Un roman qui prend aux tripes

  • Alexandrine
    Un roman qui prend aux tripes

    Avec ce quatrième roman dédié à son grand-père Cherokee, David Vann clôt un cycle autobiographique débuté avec Sukkwan Island (Prix Médicis étranger 2010). "Ce roman consume les derniers éléments qui, à l'origine, m'ont poussé à écrire : les récits sur ma famille et sa violence", écrit David Vann dans sa postface. Une violence assumée à laquelle bêtes et hommes doivent se plier. La loi de Dieu. La loi des hommes. La loi du clan. La loi du plus fort. Goat Mountain fait partie de ces romans qui laissent un goût de fer dans la bouche. Un goût de bile. Un goût d'irréparable, jamais expié.

Un premier roman prometteur

  • Alexandrine
    Un premier roman prometteur

    "Le paysage était désolé. De temps en temps sur un arbre rabougri au feuillage irrégulier, il y avait un oiseau, tellement immobile qu'il avait l'air d'avoir été empaillé" (p. 64).

    Dans ce paysage de fin du monde, deux hommes aux convictions opposées se font face. Une panne de moteur a forcé le Réverend Pearson a interrompre provisoirement son travail de berger au secours des brebis égarées. Lui et sa fille, Léni, ont échoué dans ce No man's land, au Nord de l'Argentine. La reprise de leur voyage dépend des mains experts d'El Gringo Bauer auxquelles peu de moteurs résistent. Bauer croit au pouvoir de ses mains et aux puissances de la Nature. Pearson croit au pouvoir de sa parole et en la puissance de Dieu. Le premier est taiseux, le second excelle dans l'art oratoire. Enjeu de leur confrontation, le jeune Tapioca ne sait plus qui croire. Mais il entrevoit confusément un nouveau chemin.

    Dans ce huis clos étouffant, chacun rumine ses certitudes et ressasse son passé. Chacun des protagonistes est finalement seul, face à lui-même et à sa vérité intime. Les nuages s'amoncellent, l'air se raréfie. Qu'adviendra-t-il d'eux…après l'orage.
    Un court récit à l'écriture très cinématographique. Un premier roman prometteur.

Un premier roman prometteur

  • Alexandrine
    Un premier roman prometteur

    "Le paysage était désolé. De temps en temps sur un arbre rabougri au feuillage irrégulier, il y avait un oiseau, tellement immobile qu'il avait l'air d'avoir été empaillé" (p. 64).

    Dans ce paysage de fin du monde, deux hommes aux convictions opposées se font face. Une panne de moteur a forcé le Réverend Pearson a interrompre provisoirement son travail de berger au secours des brebis égarées. Lui et sa fille, Léni, ont échoué dans ce No man's land, au Nord de l'Argentine. La reprise de leur voyage dépend des mains experts d'El Gringo Bauer auxquelles peu de moteurs résistent. Bauer croit au pouvoir de ses mains et aux puissances de la Nature. Pearson croit au pouvoir de sa parole et en la puissance de Dieu. Le premier est taiseux, le second excelle dans l'art oratoire. Enjeu de leur confrontation, le jeune Tapioca ne sait plus qui croire. Mais il entrevoit confusément un nouveau chemin.

    Dans ce huis clos étouffant, chacun rumine ses certitudes et ressasse son passé. Chacun des protagonistes est finalement seul, face à lui-même et à sa vérité intime. Les nuages s'amoncellent, l'air se raréfie. Qu'adviendra-t-il d'eux…après l'orage.
    Un court récit à l'écriture très cinématographique. Un premier roman prometteur.