JEAN-FRANÇOIS J.

Biographie

 Je suis né à Brest, le 05/08/1969 une ville où l’on parle souvent des îles qui l’entourent, Ouessant, Molène, Sein... La mer me berce depuis l'enfance et elle s'invite souvent dans mes rêveries. Elle est Source d'inspiration, mais aussi de revenus, pendant longtemps j'ai enseigné la voile au sein de différents clubs nautiques. Désirs de voyages, de rencontres, d’océans, et ce besoin d'écrire qui s'installe, comme une évidence. Dans mes tiroirs traînent des tentatives de romans aux airs surréalistes. Des nouvelles dans les recueil du cœur, deux livres, « désirs d’îles », et « le temps d’une révolution » et en 2009 "Le mage du Rumorvan" qui lui n’est pas de cette veine-là, il est mon premier polar. Une vieille histoire – un crime non résolu à L'Aber-Ildult – gisait dans l'inconscient collectif de mon petit village de Bretagne et se déformait de bouche en bouche en bouche ; elle a été mon point de départ. Puis viens « la petite sirène de Koort » aux éditions de l’écrit au livre, et son côté surréaliste, une farce, une enquête de fins limiers ainsi que « Bleu Terre » une balade poétique qui parle de la mer, de l’amour, de la mort. Au mois de Juillet, « Désirs d’îles » sort en collection coup de cœur des éditions édilivre, il s’agit d’un roman d’aventure. 17 janvier 2011 naissance du livre audio "Bleu Terre" rencontre de deux être sur l'estran de nos maux, cécile delalandre donne de la voix à mes murmures, et olivier raymond l'illustre par son clavier. Le 1 mai Salle Herri Léon le spectacle « Effet mer »sera là pour montrer que la Bretagne mer ou montagne (rires) est belle. Maintenant, je compose pour vous des textes sur mesure, tel mes ancêtres Tailleur de Pierre, humblement je met mon style décalé à votre service.

l'avis de carole defer (lille)

  • Jean-François J.
    l'avis de carole defer (lille)

    « Particulier »………vous avez dit « particulier » ????
    Mais qui donc le premier lança ce pavé à la face de Jean François Joubert , réduisant son talent à une « hors-normité » ?

    S’il fallait qualifier ce roman, science fiction décalée, surréaliste à souhait, j’emploierais plutôt le terme de « déstabilisant » ; oui, voilà, vous y êtes, perturbant et déstabilisant.

    Voilà pourquoi, Monsieur Joubert, je vous ai haï.
    Le premier contact , facile, agréable, avec l’écriture, le style, de ce roman…..votre délicieuse habileté à jongler avec les mots….les apartés malicieuses…….un avant-goût de paradis.

l'avis de thérése Noiret (Nantes)

  • Jean-François J.
    l'avis de thérése Noiret (Nantes)

    " le style n'est pas fait pour plaire au lecteur habitués des lectures faciles ! Il faut être disposé à le suivre. Pour cela il faut aimer les mots. Surtout ne pas "intellectualiser" ! Voyez vous-même, quand enfin vous croyez en tenir un, et que vous vous dites " : ah, cette fois j'ai compris" ! d'une pirouette, il vous échappe encore. Pour un peu on entendrait ses rires moqueurs.
    Les mots de J. F. ? C'est comme les balles du jongleur, bien malin celui qui peut les suivre une par une quand il les lance. S'il y arrive c'est qu'il aura compris ! Les autres resteront sur leur faim. Ce qui est un vrai et beau compliment.
    Moi, si j'avais une classe devant moi, je ferais étudier ces textes-là. Ils sont jubilatoires !

Une surprise qui me laisse un sourire

  • Jean-François J.
    Une surprise qui me laisse un sourire

    Bleu Terre audio, c'est un livre mais pas vraiment un puisqu'il est sonore une rencontre entre trois acteurs, une voix cécile, une musique olivier et ma prose. Des petites histoire que l'on écoute tranquille chez-soi près du crépitement d'un feu de cheminée, idéale pour l'hiver. merci.

Ne vous demandez pas... Selon « la promesse de l'aube » l'homme aux divers pseudonymes que je connais sous le nom de Romain Gary (Brûle en russe) et Émile Ajar est intemporelle sans le vouloir, tant sa plume se fait délicate ou acide pour mieux mordre

  • Jean-François J.
    Ne vous demandez pas... Selon « la promesse de l'aube » l'homme aux divers pseudonymes que je connais sous le nom de Romain Gary (Brûle en russe) et Émile Ajar est intemporelle sans le vouloir, tant sa plume se fait délicate ou acide pour mieux mordre

    Personne de ma famille ne l'a connu et pourtant vers quinze ans je lisais ce célèbre et poignant témoignage sur les travers d'un homme qui perd sa virilité, baiser ou mourir, lui il a une femme jeune qui demande beaucoup un peu comme Félix Faure. Le titre parle et résonne encore dans ma quarantaine bedonnante « au delà de cette limite votre ticket n'est plus valable » trop jeune pour comprendre, évidemment jamais une ligne de ce « roman » de vieux ne m'a inspirée l'envie de lire d'autres textes de cet auteur, hors norme. Inutile de compter les livres et si je savais encore lire, je m'abandonnerais allongé sur le sofa à entrouvrir ses mots, ses phrases, ses points d'interrogations, ses révoltes, ses incertitudes et sa certitude que je trouve dans ce livre magnifique de la comédie américaine terminé et imprimé pour la première fois en 1969. Or « Adieu, Gary Cooper »est dans ma bibliothèque depuis longtemps, acheté, conseillé perdu racheté, lu et relu, trois fois et puis je rêve, rêvons messieurs, dames d'un film, de qui ? De moi, je m'en fout. En voici le synopsis pour mieux comprendre de quoi je parle.: « La Suisse. Lenny est un clochard des neiges, grand blond, il conserve les pieds sur Terre, ce gamin de 18 ans n’a pas l’esprit céleste, de « on the road » de Jacques Kerouac.

Ma ville avant 1929

  • Jean-François J.
    Ma ville avant 1929

    Carnivore, je viens de dévorer ce livre, Brest, au XIX siècle, celui des éditions dialogues accompagné d'illustrations de Paul Bloas, quel plaisir de voir la ville morte sous les bombes alliées en 1945, savoir que l'îlienne de Ouessant se distinguait de la femme de Plougastel par sa peau iodée couverte d'embruns, l'homme parle et nomme les rue, les divers quartier, la vie de marin, le silence du port, la vue extraordinaire, le bagne, et les filles de joies, et de la haute société, une ville qu'i
    l compare à Paris, oui Pierre Mac Orlan ose évoquer cette ville qu'il traverse en observateur et cite quelques noms d'amitiés évanouies des morts qui lui parle du simple piéton qui passe à ses auteurs qu'il évoque tendrement sans plus arrêter sa plume Quand aux illustrations de monsieur Paul, elles nous invitent à aller boire un verre au port de commerce ou sous les ponts, sur les piliers, les bonhommes là en couleur qui sortent de l'ombre et dessinent une cité qui s'est volatilisé car elle est situé à l'Ouest là ou soleil et bombes tombe quand la lune dort. En bref, j'ai adoré et je ne met que quatre étoile mais ce livre vaut bien une grappe fleurie à cinq étoile qui se déguste à Recouvrance ou ailleurs, le Brestois n'est pas sectaire depuis des siècles il assimile l'immigration et sa générosité en fait son charme, stop, vous allez croire que je suis adepte de la folie humaine de dire ma ville est la plus belle moi qui suis en escale forcé dans ma ville de Brest et qui rêve immobile de voir la Terre.

    jean-françois joubert