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AU PLUS PRES Eric R. Libraire AU PLUS PRES Raconter la naissance du sentiment amoureux chez des adolescents, sans caricature ou cliché, n’est pas chose facile. Lorsque les adolescents sont deux garçons, la tache est encore moins aisée. Pourtant la Bd « Au plus près », réussit avec une justesse de ton remarquable, ce pari. Un bijou de retenue et de sobriété. Des BD donnent parfois l’impression d’être coloriées avec des crayons de couleurs. Cela permet d’exprimer une forme de violence enfantine ou la force de sentiments primaires, forts et nouveaux. Ces couleurs, mêlées à l’aquarelle, la dessinatrice suédoise Anneli Furmark, les met au coeur du roman graphique « Au plus près », adapté du roman de l’écrivaine norvégienne Monika Steinholm. Des sentiments forts, juvéniles, d’amour intense sont en effet suivis « au plus près » dans cette BD qui raconte la naissance et l’acceptation de l’amour réciproque de deux jeunes gens, Jens, roux et rond et Edor, blond et mince. Tout oppose ces deux jeunes norvégiens; leur physique mais aussi leur histoire personnelle et leur caractère. Jens découvre son homosexualité dans un milieu familial tolérant et compréhensif. Edor, qui a le poids supplémentaire d’un lourd secret familial, combat ses pulsions face à un père hostile et à la volonté d’être « normal », d’être amoureux d’une fille comme tout le monde. Admis ou non par l’entourage, cette découverte assumée par Jens, et refoulée par Edor n’en reste pas moins un immense séisme dans leur univers mental personnel. Par le biais de petits chapitres, le lecteur passe, par un va et vient incessant, des états d’âme de chacun des deux protagonistes, confrontés à leur propre regard et à celui des autres.Comme les touches d’aquarelle qui éclairent les magnifiques paysages norvégiens, toile de fond d’un été torride et exceptionnel dans cette région du monde, le récit décrit avec minutie et réalisme les souffrances psychologiques de ces deux jeunes hommes qui se découvrent. Autour d’eux, de superbes personnages, apportent le contre point du regard extérieur et racontent la vie. Les éditions « Cà et Là » poursuivent avec « Au Plus Près » leur ligne éditoriale originale de publications de BD, au graphisme souvent innovant, d’auteurs étrangers comme Marcello Quintalhina ou Joff Winterhart dont l’album « Courtes distances » est assurément l’une des plus belles publications de ces derniers mois. Un travail remarquable d’édition à découvrir et à encourager. Lire la suite
Eric R. Libraire AU PLUS PRES Raconter la naissance du sentiment amoureux chez des adolescents, sans caricature ou cliché, n’est pas chose facile. Lorsque les adolescents sont deux garçons, la tache est encore moins aisée. Pourtant la Bd « Au plus près », réussit avec une justesse de ton remarquable, ce pari. Un bijou de retenue et de sobriété. Des BD donnent parfois l’impression d’être coloriées avec des crayons de couleurs. Cela permet d’exprimer une forme de violence enfantine ou la force de sentiments primaires, forts et nouveaux. Ces couleurs, mêlées à l’aquarelle, la dessinatrice suédoise Anneli Furmark, les met au coeur du roman graphique « Au plus près », adapté du roman de l’écrivaine norvégienne Monika Steinholm. Des sentiments forts, juvéniles, d’amour intense sont en effet suivis « au plus près » dans cette BD qui raconte la naissance et l’acceptation de l’amour réciproque de deux jeunes gens, Jens, roux et rond et Edor, blond et mince. Tout oppose ces deux jeunes norvégiens; leur physique mais aussi leur histoire personnelle et leur caractère. Jens découvre son homosexualité dans un milieu familial tolérant et compréhensif. Edor, qui a le poids supplémentaire d’un lourd secret familial, combat ses pulsions face à un père hostile et à la volonté d’être « normal », d’être amoureux d’une fille comme tout le monde. Admis ou non par l’entourage, cette découverte assumée par Jens, et refoulée par Edor n’en reste pas moins un immense séisme dans leur univers mental personnel. Par le biais de petits chapitres, le lecteur passe, par un va et vient incessant, des états d’âme de chacun des deux protagonistes, confrontés à leur propre regard et à celui des autres.Comme les touches d’aquarelle qui éclairent les magnifiques paysages norvégiens, toile de fond d’un été torride et exceptionnel dans cette région du monde, le récit décrit avec minutie et réalisme les souffrances psychologiques de ces deux jeunes hommes qui se découvrent. Autour d’eux, de superbes personnages, apportent le contre point du regard extérieur et racontent la vie. Les éditions « Cà et Là » poursuivent avec « Au Plus Près » leur ligne éditoriale originale de publications de BD, au graphisme souvent innovant, d’auteurs étrangers comme Marcello Quintalhina ou Joff Winterhart dont l’album « Courtes distances » est assurément l’une des plus belles publications de ces derniers mois. Un travail remarquable d’édition à découvrir et à encourager. Lire la suite
AU PLUS PRES Raconter la naissance du sentiment amoureux chez des adolescents, sans caricature ou cliché, n’est pas chose facile. Lorsque les adolescents sont deux garçons, la tache est encore moins aisée. Pourtant la Bd « Au plus près », réussit avec une justesse de ton remarquable, ce pari. Un bijou de retenue et de sobriété. Des BD donnent parfois l’impression d’être coloriées avec des crayons de couleurs. Cela permet d’exprimer une forme de violence enfantine ou la force de sentiments primaires, forts et nouveaux. Ces couleurs, mêlées à l’aquarelle, la dessinatrice suédoise Anneli Furmark, les met au coeur du roman graphique « Au plus près », adapté du roman de l’écrivaine norvégienne Monika Steinholm. Des sentiments forts, juvéniles, d’amour intense sont en effet suivis « au plus près » dans cette BD qui raconte la naissance et l’acceptation de l’amour réciproque de deux jeunes gens, Jens, roux et rond et Edor, blond et mince. Tout oppose ces deux jeunes norvégiens; leur physique mais aussi leur histoire personnelle et leur caractère. Jens découvre son homosexualité dans un milieu familial tolérant et compréhensif. Edor, qui a le poids supplémentaire d’un lourd secret familial, combat ses pulsions face à un père hostile et à la volonté d’être « normal », d’être amoureux d’une fille comme tout le monde. Admis ou non par l’entourage, cette découverte assumée par Jens, et refoulée par Edor n’en reste pas moins un immense séisme dans leur univers mental personnel. Par le biais de petits chapitres, le lecteur passe, par un va et vient incessant, des états d’âme de chacun des deux protagonistes, confrontés à leur propre regard et à celui des autres.Comme les touches d’aquarelle qui éclairent les magnifiques paysages norvégiens, toile de fond d’un été torride et exceptionnel dans cette région du monde, le récit décrit avec minutie et réalisme les souffrances psychologiques de ces deux jeunes hommes qui se découvrent. Autour d’eux, de superbes personnages, apportent le contre point du regard extérieur et racontent la vie. Les éditions « Cà et Là » poursuivent avec « Au Plus Près » leur ligne éditoriale originale de publications de BD, au graphisme souvent innovant, d’auteurs étrangers comme Marcello Quintalhina ou Joff Winterhart dont l’album « Courtes distances » est assurément l’une des plus belles publications de ces derniers mois. Un travail remarquable d’édition à découvrir et à encourager. Lire la suite
Comme au Cluedo... Eric R. Libraire Comme au Cluedo... Dans La Serpe, une enquête minutieuse et toute personnelle, Philippe Jaenada rouvre le dossier d’un triple assassinat commis dans un château de Dordogne en 1941. On sort de la lecture de La Serpe comme une crêpe (bretonne bien évidemment). Pendant la moitié de l’ouvrage, on cuit d’un côté. Brusquement le cuisinier (ou l’auteur) nous retourne et on cuit sur l’autre face. Au final on est à point, complètement saisi par un « roman » qui, comme un polar vous prend dès les premières pages pour ne pas vous lâcher avant les six cents dernières. Lire la suite
Eric R. Libraire Comme au Cluedo... Dans La Serpe, une enquête minutieuse et toute personnelle, Philippe Jaenada rouvre le dossier d’un triple assassinat commis dans un château de Dordogne en 1941. On sort de la lecture de La Serpe comme une crêpe (bretonne bien évidemment). Pendant la moitié de l’ouvrage, on cuit d’un côté. Brusquement le cuisinier (ou l’auteur) nous retourne et on cuit sur l’autre face. Au final on est à point, complètement saisi par un « roman » qui, comme un polar vous prend dès les premières pages pour ne pas vous lâcher avant les six cents dernières. Lire la suite
Comme au Cluedo... Dans La Serpe, une enquête minutieuse et toute personnelle, Philippe Jaenada rouvre le dossier d’un triple assassinat commis dans un château de Dordogne en 1941. On sort de la lecture de La Serpe comme une crêpe (bretonne bien évidemment). Pendant la moitié de l’ouvrage, on cuit d’un côté. Brusquement le cuisinier (ou l’auteur) nous retourne et on cuit sur l’autre face. Au final on est à point, complètement saisi par un « roman » qui, comme un polar vous prend dès les premières pages pour ne pas vous lâcher avant les six cents dernières. Lire la suite
Une BD qui pétille ! Eric R. Libraire Une BD qui pétille ! En cette période hivernale, une BD formidable vous réchauffera le coeur. Elle se passe pourtant dans le Nord Est du Groenland mais l’humanité et l’humour de personnages perdus dans la nuit polaire alimenteront vos zygomatiques. « Racontars Arctiques », contes moraux et drolatiques revigorants. Lire la suite
Eric R. Libraire Une BD qui pétille ! En cette période hivernale, une BD formidable vous réchauffera le coeur. Elle se passe pourtant dans le Nord Est du Groenland mais l’humanité et l’humour de personnages perdus dans la nuit polaire alimenteront vos zygomatiques. « Racontars Arctiques », contes moraux et drolatiques revigorants. Lire la suite
Une BD qui pétille ! En cette période hivernale, une BD formidable vous réchauffera le coeur. Elle se passe pourtant dans le Nord Est du Groenland mais l’humanité et l’humour de personnages perdus dans la nuit polaire alimenteront vos zygomatiques. « Racontars Arctiques », contes moraux et drolatiques revigorants. Lire la suite
Portrait magnifique d’une écrivaine engagée dans son temps. Eric R. Libraire Portrait magnifique d’une écrivaine engagée dans son temps. Les murs parlent parfois et révèlent beaucoup de leur propriétaire. En investissant la demeure de Nohant, propriété de George Sand, l’historienne Michelle Perrot, trace un portrait magnifique d’une écrivaine engagée dans son temps et citoyenne plus qu’auteure. S'intéressant peu à l'oeuvre, qu'elle juge "fade" l'historienne en racontant le lieu et sa vie au quotidien, trace en fait le portrait d'une femme, libre, indépendante, républicaine, sociale, soucieuse des droits civils des femmes. Avec ses faiblesses et ses contradictions certes mais toujours soucieuse de mettre en adéquation ses idées sociales et ses actes.En trois parties, les lieux, les gens, le temps, ce livre érudit mais jamais ennuyeux, est aussi un remarquable ouvrage sur la vie paysanne au Centre de la France dans la première partie du XIX ème siècle.Un lieu plus grand que l'oeuvre, magnifiquement raconté comme un récit du Berry. Lire la suite
Eric R. Libraire Portrait magnifique d’une écrivaine engagée dans son temps. Les murs parlent parfois et révèlent beaucoup de leur propriétaire. En investissant la demeure de Nohant, propriété de George Sand, l’historienne Michelle Perrot, trace un portrait magnifique d’une écrivaine engagée dans son temps et citoyenne plus qu’auteure. S'intéressant peu à l'oeuvre, qu'elle juge "fade" l'historienne en racontant le lieu et sa vie au quotidien, trace en fait le portrait d'une femme, libre, indépendante, républicaine, sociale, soucieuse des droits civils des femmes. Avec ses faiblesses et ses contradictions certes mais toujours soucieuse de mettre en adéquation ses idées sociales et ses actes.En trois parties, les lieux, les gens, le temps, ce livre érudit mais jamais ennuyeux, est aussi un remarquable ouvrage sur la vie paysanne au Centre de la France dans la première partie du XIX ème siècle.Un lieu plus grand que l'oeuvre, magnifiquement raconté comme un récit du Berry. Lire la suite
Portrait magnifique d’une écrivaine engagée dans son temps. Les murs parlent parfois et révèlent beaucoup de leur propriétaire. En investissant la demeure de Nohant, propriété de George Sand, l’historienne Michelle Perrot, trace un portrait magnifique d’une écrivaine engagée dans son temps et citoyenne plus qu’auteure. S'intéressant peu à l'oeuvre, qu'elle juge "fade" l'historienne en racontant le lieu et sa vie au quotidien, trace en fait le portrait d'une femme, libre, indépendante, républicaine, sociale, soucieuse des droits civils des femmes. Avec ses faiblesses et ses contradictions certes mais toujours soucieuse de mettre en adéquation ses idées sociales et ses actes.En trois parties, les lieux, les gens, le temps, ce livre érudit mais jamais ennuyeux, est aussi un remarquable ouvrage sur la vie paysanne au Centre de la France dans la première partie du XIX ème siècle.Un lieu plus grand que l'oeuvre, magnifiquement raconté comme un récit du Berry. Lire la suite
MAUSART Eric R. Libraire MAUSART Et si Mozart s'appelait "Mausart" ? Et si il était en réalité une petite souris mélomane qui vivait dans le piano du loup Salieri? Dans cette magnifique BD enlevée, Smudja confirme son immense talent de peintre et de dessinateur. Mausart composant La Flute Enchantée en sautant de touche en touche est un véritable bonheur de musique et de ... lecture. Dessinant un bestiaire royal magnifique le peintre d'origine yougoslave, à l'image de la superbe couverture, illumine le regard du lecteur et illustre parfaitement un scénario enjoué et original. Une BD à destination des moyens et des grands à qui il ne manque qu'une chose : un CD des oeuvres du génie autrichien à écouter pendant la lecture de ce conte heureux . Lire la suite
Eric R. Libraire MAUSART Et si Mozart s'appelait "Mausart" ? Et si il était en réalité une petite souris mélomane qui vivait dans le piano du loup Salieri? Dans cette magnifique BD enlevée, Smudja confirme son immense talent de peintre et de dessinateur. Mausart composant La Flute Enchantée en sautant de touche en touche est un véritable bonheur de musique et de ... lecture. Dessinant un bestiaire royal magnifique le peintre d'origine yougoslave, à l'image de la superbe couverture, illumine le regard du lecteur et illustre parfaitement un scénario enjoué et original. Une BD à destination des moyens et des grands à qui il ne manque qu'une chose : un CD des oeuvres du génie autrichien à écouter pendant la lecture de ce conte heureux . Lire la suite
MAUSART Et si Mozart s'appelait "Mausart" ? Et si il était en réalité une petite souris mélomane qui vivait dans le piano du loup Salieri? Dans cette magnifique BD enlevée, Smudja confirme son immense talent de peintre et de dessinateur. Mausart composant La Flute Enchantée en sautant de touche en touche est un véritable bonheur de musique et de ... lecture. Dessinant un bestiaire royal magnifique le peintre d'origine yougoslave, à l'image de la superbe couverture, illumine le regard du lecteur et illustre parfaitement un scénario enjoué et original. Une BD à destination des moyens et des grands à qui il ne manque qu'une chose : un CD des oeuvres du génie autrichien à écouter pendant la lecture de ce conte heureux . Lire la suite