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Voyage au pays de Mao: passionnant et effrayant. Eric R. Libraire Voyage au pays de Mao: passionnant et effrayant. L’usage des mots est essentiel en politique. Utilisés de manière mécanique, ils peuvent signifier tout et son contraire. Dans sa BD « Servir le peuple », Inker démontre comment des mots révolutionnaires peuvent, à l’identique , être des mots de la contre révolution. Voyage au pays de Mao: passionnant et effrayant.Le Petit Livre Rouge est un livre pour la révolution. Il a été écrit par Mao Zedong.Le grand livre rouge « Servir le peuple » est un livre contre révolutionnaire. Il est dessiné par Alex.W. Inker.Pourtant, ce dernier, n’aurait pu exister sans le premier. Directement inspiré du roman éponyme de Yan Lianke, « Servir le peuple » raconte l’histoire de Petit Wu, très modeste paysan chinois, qui engagé par des promesses veut progresser dans la hiérarchie militaire et dans celle du Parti en qui il place tous ses espoirs. « Servir le peuple » devient son mode de pensée et sa clé pour ouvrir les portes de son ascension. Lire la suite
Eric R. Libraire Voyage au pays de Mao: passionnant et effrayant. L’usage des mots est essentiel en politique. Utilisés de manière mécanique, ils peuvent signifier tout et son contraire. Dans sa BD « Servir le peuple », Inker démontre comment des mots révolutionnaires peuvent, à l’identique , être des mots de la contre révolution. Voyage au pays de Mao: passionnant et effrayant.Le Petit Livre Rouge est un livre pour la révolution. Il a été écrit par Mao Zedong.Le grand livre rouge « Servir le peuple » est un livre contre révolutionnaire. Il est dessiné par Alex.W. Inker.Pourtant, ce dernier, n’aurait pu exister sans le premier. Directement inspiré du roman éponyme de Yan Lianke, « Servir le peuple » raconte l’histoire de Petit Wu, très modeste paysan chinois, qui engagé par des promesses veut progresser dans la hiérarchie militaire et dans celle du Parti en qui il place tous ses espoirs. « Servir le peuple » devient son mode de pensée et sa clé pour ouvrir les portes de son ascension. Lire la suite
Voyage au pays de Mao: passionnant et effrayant. L’usage des mots est essentiel en politique. Utilisés de manière mécanique, ils peuvent signifier tout et son contraire. Dans sa BD « Servir le peuple », Inker démontre comment des mots révolutionnaires peuvent, à l’identique , être des mots de la contre révolution. Voyage au pays de Mao: passionnant et effrayant.Le Petit Livre Rouge est un livre pour la révolution. Il a été écrit par Mao Zedong.Le grand livre rouge « Servir le peuple » est un livre contre révolutionnaire. Il est dessiné par Alex.W. Inker.Pourtant, ce dernier, n’aurait pu exister sans le premier. Directement inspiré du roman éponyme de Yan Lianke, « Servir le peuple » raconte l’histoire de Petit Wu, très modeste paysan chinois, qui engagé par des promesses veut progresser dans la hiérarchie militaire et dans celle du Parti en qui il place tous ses espoirs. « Servir le peuple » devient son mode de pensée et sa clé pour ouvrir les portes de son ascension. Lire la suite
Une BD réussie pour un "héros" raté. Eric R. Libraire Une BD réussie pour un "héros" raté. Pierre-Henry Gomont nous emmène sur les traces d’un « connard sympathique », un père ignoble et odieux, qui va abimer sa famille dans sa quête d’un projet en Afrique équatoriale irréaliste et perdu d’avance. Riche comme un roman, beau comme une BD. Une réussite. Le conseil d'Eric. Lire la suite
Eric R. Libraire Une BD réussie pour un "héros" raté. Pierre-Henry Gomont nous emmène sur les traces d’un « connard sympathique », un père ignoble et odieux, qui va abimer sa famille dans sa quête d’un projet en Afrique équatoriale irréaliste et perdu d’avance. Riche comme un roman, beau comme une BD. Une réussite. Le conseil d'Eric. Lire la suite
Une BD réussie pour un "héros" raté. Pierre-Henry Gomont nous emmène sur les traces d’un « connard sympathique », un père ignoble et odieux, qui va abimer sa famille dans sa quête d’un projet en Afrique équatoriale irréaliste et perdu d’avance. Riche comme un roman, beau comme une BD. Une réussite. Le conseil d'Eric. Lire la suite
LE DERNIER LAPON Eric R. Libraire LE DERNIER LAPON LE DERNIER LAPON: UNE BD GLACANTE Les premiers froids arrivent. Une BD, sous la forme d’un passionnant polar, vous emmène par moins 17 degrés, dans le grand nord, dans le pays d’éleveurs qui coupent les oreilles des rennes, mais parfois aussi des hommes. Frissons garantis. Si vous avez peur de la nuit, cette BD n’est pas pour vous. Si les mots « polar ethnologique » vous effraient, passez votre chemin. Mais si vous désirez passer quelques jours dans les territoires sauvages du grand nord, alors que la Laponie est plongée dans la nuit depuis quarante jours, n’hésitez pas, cette BD est pour vous. Vous allez pouvoir monter sur un scooter des neiges, après avoir enfilé une doudoune épaisse et vous lancez à la chasse de rennes, mais aussi, très rapidement, à la recherche d’un assassin d’un éleveur à qui on a coupé les deux oreilles. Il vous faudra remonter à 1693 pour essayer de résoudre ce terrible assassinat peut être causé par le vol d’un tambour de chaman.Les situations résonnent vrai comme dans le roman policier multiprimé d’Olivier Truc (prix des lecteurs Quai du Polar, Prix Mystère de la critique notamment) d’où est tirée cette BD, confiée aux espagnols Javier Cosnava pour le scénario et Toni Carbos aux dessins. Les conflits ancestraux, les légendes laponnes, les enjeux économiques liés aux richesses du sol, la présence d’un seul policier Lapon au commissariat, Klemett, qui va mener l’enquête avec Nina, une policière venue du sud du pays, créent un climat lourd et réaliste qui ausculte au plus près une société divisée et violente sous le signe de la nuit qui cache tout. Toni Carbos relève le défi de dessiner la nuit. Il utilise des couleurs froides, bleutées, gris-clair, qui collent parfaitement à la noirceur du récit, agité de protagonistes haineux et violents. La qualité remarquable de l’objet et du papier rendent un bel hommage au travail du dessinateur soucieux de privilégier la clarté du récit à une vision idyllique des paysages peu en rapport avec les relations humaines. Il faudra attendre la dernière page pour que s’ouvre « la période la plus extraordinaire de l’année, celle qui porte en elle tous les espoirs … (…). Très bientôt l’hiver va finir, le soleil renaitra, redonnant à nos montagnes, leur relief et leur superbe. ». Avec le retour du soleil, on peut espérer que la lumière éclairera cette affaire passionnante et instructive. Et que l’assassin sera démasqué. Eric Rubert. Chronique intégrale sur le site Unidivers. Fr Lire la suite
Eric R. Libraire LE DERNIER LAPON LE DERNIER LAPON: UNE BD GLACANTE Les premiers froids arrivent. Une BD, sous la forme d’un passionnant polar, vous emmène par moins 17 degrés, dans le grand nord, dans le pays d’éleveurs qui coupent les oreilles des rennes, mais parfois aussi des hommes. Frissons garantis. Si vous avez peur de la nuit, cette BD n’est pas pour vous. Si les mots « polar ethnologique » vous effraient, passez votre chemin. Mais si vous désirez passer quelques jours dans les territoires sauvages du grand nord, alors que la Laponie est plongée dans la nuit depuis quarante jours, n’hésitez pas, cette BD est pour vous. Vous allez pouvoir monter sur un scooter des neiges, après avoir enfilé une doudoune épaisse et vous lancez à la chasse de rennes, mais aussi, très rapidement, à la recherche d’un assassin d’un éleveur à qui on a coupé les deux oreilles. Il vous faudra remonter à 1693 pour essayer de résoudre ce terrible assassinat peut être causé par le vol d’un tambour de chaman.Les situations résonnent vrai comme dans le roman policier multiprimé d’Olivier Truc (prix des lecteurs Quai du Polar, Prix Mystère de la critique notamment) d’où est tirée cette BD, confiée aux espagnols Javier Cosnava pour le scénario et Toni Carbos aux dessins. Les conflits ancestraux, les légendes laponnes, les enjeux économiques liés aux richesses du sol, la présence d’un seul policier Lapon au commissariat, Klemett, qui va mener l’enquête avec Nina, une policière venue du sud du pays, créent un climat lourd et réaliste qui ausculte au plus près une société divisée et violente sous le signe de la nuit qui cache tout. Toni Carbos relève le défi de dessiner la nuit. Il utilise des couleurs froides, bleutées, gris-clair, qui collent parfaitement à la noirceur du récit, agité de protagonistes haineux et violents. La qualité remarquable de l’objet et du papier rendent un bel hommage au travail du dessinateur soucieux de privilégier la clarté du récit à une vision idyllique des paysages peu en rapport avec les relations humaines. Il faudra attendre la dernière page pour que s’ouvre « la période la plus extraordinaire de l’année, celle qui porte en elle tous les espoirs … (…). Très bientôt l’hiver va finir, le soleil renaitra, redonnant à nos montagnes, leur relief et leur superbe. ». Avec le retour du soleil, on peut espérer que la lumière éclairera cette affaire passionnante et instructive. Et que l’assassin sera démasqué. Eric Rubert. Chronique intégrale sur le site Unidivers. Fr Lire la suite
LE DERNIER LAPON LE DERNIER LAPON: UNE BD GLACANTE Les premiers froids arrivent. Une BD, sous la forme d’un passionnant polar, vous emmène par moins 17 degrés, dans le grand nord, dans le pays d’éleveurs qui coupent les oreilles des rennes, mais parfois aussi des hommes. Frissons garantis. Si vous avez peur de la nuit, cette BD n’est pas pour vous. Si les mots « polar ethnologique » vous effraient, passez votre chemin. Mais si vous désirez passer quelques jours dans les territoires sauvages du grand nord, alors que la Laponie est plongée dans la nuit depuis quarante jours, n’hésitez pas, cette BD est pour vous. Vous allez pouvoir monter sur un scooter des neiges, après avoir enfilé une doudoune épaisse et vous lancez à la chasse de rennes, mais aussi, très rapidement, à la recherche d’un assassin d’un éleveur à qui on a coupé les deux oreilles. Il vous faudra remonter à 1693 pour essayer de résoudre ce terrible assassinat peut être causé par le vol d’un tambour de chaman.Les situations résonnent vrai comme dans le roman policier multiprimé d’Olivier Truc (prix des lecteurs Quai du Polar, Prix Mystère de la critique notamment) d’où est tirée cette BD, confiée aux espagnols Javier Cosnava pour le scénario et Toni Carbos aux dessins. Les conflits ancestraux, les légendes laponnes, les enjeux économiques liés aux richesses du sol, la présence d’un seul policier Lapon au commissariat, Klemett, qui va mener l’enquête avec Nina, une policière venue du sud du pays, créent un climat lourd et réaliste qui ausculte au plus près une société divisée et violente sous le signe de la nuit qui cache tout. Toni Carbos relève le défi de dessiner la nuit. Il utilise des couleurs froides, bleutées, gris-clair, qui collent parfaitement à la noirceur du récit, agité de protagonistes haineux et violents. La qualité remarquable de l’objet et du papier rendent un bel hommage au travail du dessinateur soucieux de privilégier la clarté du récit à une vision idyllique des paysages peu en rapport avec les relations humaines. Il faudra attendre la dernière page pour que s’ouvre « la période la plus extraordinaire de l’année, celle qui porte en elle tous les espoirs … (…). Très bientôt l’hiver va finir, le soleil renaitra, redonnant à nos montagnes, leur relief et leur superbe. ». Avec le retour du soleil, on peut espérer que la lumière éclairera cette affaire passionnante et instructive. Et que l’assassin sera démasqué. Eric Rubert. Chronique intégrale sur le site Unidivers. Fr Lire la suite
Une BD étoilée. Eric R. Libraire Une BD étoilée. Gerda Wendt était une astro-physicienne allemande qui consacra sa vie aux étoiles. « Une vie comme un été », tout en douceur et subtilité, nous raconte par courtes séquences cette existence placée sous le signe de la voute céleste. Sans pathos mais avec poésie. C’est la vie d’une scientifique que raconte cette BD, une scientifique amoureuse des chiffres mais surtout de la vie, de la beauté et de ces champs colorés qui demeurent le dernier souvenir avant de rejoindre définitivement les étoiles. Coup de coeur d'Eric. Lire la suite
Eric R. Libraire Une BD étoilée. Gerda Wendt était une astro-physicienne allemande qui consacra sa vie aux étoiles. « Une vie comme un été », tout en douceur et subtilité, nous raconte par courtes séquences cette existence placée sous le signe de la voute céleste. Sans pathos mais avec poésie. C’est la vie d’une scientifique que raconte cette BD, une scientifique amoureuse des chiffres mais surtout de la vie, de la beauté et de ces champs colorés qui demeurent le dernier souvenir avant de rejoindre définitivement les étoiles. Coup de coeur d'Eric. Lire la suite
Une BD étoilée. Gerda Wendt était une astro-physicienne allemande qui consacra sa vie aux étoiles. « Une vie comme un été », tout en douceur et subtilité, nous raconte par courtes séquences cette existence placée sous le signe de la voute céleste. Sans pathos mais avec poésie. C’est la vie d’une scientifique que raconte cette BD, une scientifique amoureuse des chiffres mais surtout de la vie, de la beauté et de ces champs colorés qui demeurent le dernier souvenir avant de rejoindre définitivement les étoiles. Coup de coeur d'Eric. Lire la suite
Le Monarque des Ombres Eric R. Libraire Le Monarque des Ombres En refusant d’écrire la vie d’un jeune phalangiste de sa famille, mort en héros, Javier Cercas poursuit sa quête de compréhension de la guerre civile espagnole. Un récit exceptionnel qui nous interroge sur les prétendues certitudes de l’Histoire et le fondement de nos jugements moraux. Remarquable. C’est un portrait usé par le temps. Le jeune homme, engagé dans le camp des phalangistes, est l’oncle de la mère de Javier Cercas. Il s’appelle Manuel Mena. Il va mourir au combat le 21 septembre 1938 sous les balles républicaines et devenir un héros familial. Ce jeune parent est « devenu le parfait symbole funèbre et violent de toutes les erreurs et les responsabilités (...) le déshonneur de mes ancêtres ». La photo réaliste, dont on croit pouvoir deviner les secrets va peu à peu s’estomper sous les récits vérifiés de l'enquête de Cercas. L’Histoire nous apprend en effet que Manuel Mena a eu politiquement tort. Mais moralement ? Sans jamais remplir les blancs des témoignages ou des écrits, voulant « céder la parole au silence » quand il ne sait pas, Javier Cervas, au fil de ses découvertes va envisager le regard du jeune homme photographié sous un autre angle. Dans le labo de l’Histoire nationale et familiale, les certitudes de Javier Cercas vont vaciller.Peu à peu un autre Manuel Mena apparaît, Javier Cercas comprend finalement que l’histoire de nos ancêtres nous constitue comme nous constituons l’histoire de nos descendants. En cela le récit de la vie de Manuel Mena est aussi un peu le nôtre. Il peut nous alléger du poids de la honte de notre passé, même ignoré. Eric Rubert. Chronique complète sur le site Unidivers. Lire la suite
Eric R. Libraire Le Monarque des Ombres En refusant d’écrire la vie d’un jeune phalangiste de sa famille, mort en héros, Javier Cercas poursuit sa quête de compréhension de la guerre civile espagnole. Un récit exceptionnel qui nous interroge sur les prétendues certitudes de l’Histoire et le fondement de nos jugements moraux. Remarquable. C’est un portrait usé par le temps. Le jeune homme, engagé dans le camp des phalangistes, est l’oncle de la mère de Javier Cercas. Il s’appelle Manuel Mena. Il va mourir au combat le 21 septembre 1938 sous les balles républicaines et devenir un héros familial. Ce jeune parent est « devenu le parfait symbole funèbre et violent de toutes les erreurs et les responsabilités (...) le déshonneur de mes ancêtres ». La photo réaliste, dont on croit pouvoir deviner les secrets va peu à peu s’estomper sous les récits vérifiés de l'enquête de Cercas. L’Histoire nous apprend en effet que Manuel Mena a eu politiquement tort. Mais moralement ? Sans jamais remplir les blancs des témoignages ou des écrits, voulant « céder la parole au silence » quand il ne sait pas, Javier Cervas, au fil de ses découvertes va envisager le regard du jeune homme photographié sous un autre angle. Dans le labo de l’Histoire nationale et familiale, les certitudes de Javier Cercas vont vaciller.Peu à peu un autre Manuel Mena apparaît, Javier Cercas comprend finalement que l’histoire de nos ancêtres nous constitue comme nous constituons l’histoire de nos descendants. En cela le récit de la vie de Manuel Mena est aussi un peu le nôtre. Il peut nous alléger du poids de la honte de notre passé, même ignoré. Eric Rubert. Chronique complète sur le site Unidivers. Lire la suite
Le Monarque des Ombres En refusant d’écrire la vie d’un jeune phalangiste de sa famille, mort en héros, Javier Cercas poursuit sa quête de compréhension de la guerre civile espagnole. Un récit exceptionnel qui nous interroge sur les prétendues certitudes de l’Histoire et le fondement de nos jugements moraux. Remarquable. C’est un portrait usé par le temps. Le jeune homme, engagé dans le camp des phalangistes, est l’oncle de la mère de Javier Cercas. Il s’appelle Manuel Mena. Il va mourir au combat le 21 septembre 1938 sous les balles républicaines et devenir un héros familial. Ce jeune parent est « devenu le parfait symbole funèbre et violent de toutes les erreurs et les responsabilités (...) le déshonneur de mes ancêtres ». La photo réaliste, dont on croit pouvoir deviner les secrets va peu à peu s’estomper sous les récits vérifiés de l'enquête de Cercas. L’Histoire nous apprend en effet que Manuel Mena a eu politiquement tort. Mais moralement ? Sans jamais remplir les blancs des témoignages ou des écrits, voulant « céder la parole au silence » quand il ne sait pas, Javier Cervas, au fil de ses découvertes va envisager le regard du jeune homme photographié sous un autre angle. Dans le labo de l’Histoire nationale et familiale, les certitudes de Javier Cercas vont vaciller.Peu à peu un autre Manuel Mena apparaît, Javier Cercas comprend finalement que l’histoire de nos ancêtres nous constitue comme nous constituons l’histoire de nos descendants. En cela le récit de la vie de Manuel Mena est aussi un peu le nôtre. Il peut nous alléger du poids de la honte de notre passé, même ignoré. Eric Rubert. Chronique complète sur le site Unidivers. Lire la suite