ANNE-LISE D.

Après "Putzi", l’auteur ressuscite Hélène d’Oettingen avec panache ! La baronne fut peintre, poétesse, écrivaine, muse et mécène dans le Paris d’avant ; avant 14-48, les surréalistes et le mouvement dada…
Femme libre, extravagante et mélancolique, si la baronne n’avait pas existé elle aurait beaucoup manqué à ses contemporains. Et sans le talent de Thomas Snégaroff nous serions passés à côté d’une flamboyante !

Après "Putzi", l’auteur ressuscite Hélène d’Oettingen avec panache ! La baronne fut peintre, poétesse, écrivaine, muse et mécène dans le Paris d’avant ; avant 14-48, les surréalistes et le mouvement dada…
Femme libre, extravagante et mélancolique, si la baronne n’avait pas existé elle aurait beaucoup manqué à ses contemporains. Et sans le talent de Thomas Snégaroff nous serions passés à côté d’une flamboyante !

La Teigne porte son surnom avec fierté, acquis à force de coups donnés et subis. La rage qui l’habite depuis sa naissance est sa compagne de vie et la raison de sa présence à la colonie pénitentiaire de Belle-Île. Cette rage est également le moteur qui lui permettra de s’évader.
Comme à sa habitude, Sorj Chalandon nous montre qu’Histoire et roman peuvent former un seul récit puissant, violent et bouleversant. La rencontre entre l’écrivain indigné et révolté et la Teigne est une évidence. Un de nos romans préférés de Sorj Chalandon !

La Teigne porte son surnom avec fierté, acquis à force de coups donnés et subis. La rage qui l’habite depuis sa naissance est sa compagne de vie et la raison de sa présence à la colonie pénitentiaire de Belle-Île. Cette rage est également le moteur qui lui permettra de s’évader.
Comme à sa habitude, Sorj Chalandon nous montre qu’Histoire et roman peuvent former un seul récit puissant, violent et bouleversant. La rencontre entre l’écrivain indigné et révolté et la Teigne est une évidence. Un de nos romans préférés de Sorj Chalandon !

Rien ne va plus à la Combe aux Aspics, depuis la mort de la mère, les cinq hommes de la famille n’assurent rien du quotidien. Le curé conseille alors à l’un d’entre eux de prendre femme. À chaque page, on rit aux situations burlesques et au récit des multiples rebondissements et aventures abracadabrantes des Aspics. Beaucoup d’humour dans ce roman décalé, totalement déjanté et hilarant.