Dernier commentaire

  • Roselyne R. Libraire

    Si la douceur avait un visage, ce serait celui de Gio, personnage si attachant de ce roman,
    Lorsque le récit débute, ce jeune homme sort de l'hôpital après qu'on lui ait planté un tournevis dans le crâne. Cette blessure a effacé toute forme d'agressivité en lui et lui a donné une capacité à s'imprégner des beautés de la nuit. Pour échapper aux dictats de son clan, il va devoir fuir et dans sa cavale, il emmène avec lui un enfant surnommé Papillon et Dolorès, une jeune adolescente.
    En avançant dans la lecture de ce roman , on ne peut s'empêcher de penser au magnifique roman "Des souris et des hommes" de John Steinbeck..
    "Comparaison n'est pas raison", dit le proverbe et pourtant, c'est toute l'humanité de ce roman qui nous foudroie et nous va droit au cœur.