JEAN MICHEL A.

Voila un des meilleurs polars du moment.
NOREK nous emporte à Saint Pierre et Miquelon pour notre plus grand bonheur et nous y découvrons ce que sont les brumes de Capelans.
L'histoire est incroyable d'une imagination rationnelle ou "finalement" tout nous semble évident mais ... il y a le dénouement !!!
400 pages qui se dévorent.
Des personnages parfait et facile à suivre. (pas ces romans aux 101 dalmatiens ou l'on se perd).
J'ai tellement apprécié ce roman que j'en ai fait vendre 2 lorsque je suis allé à la librairie pour en choisir un nouveau.
Bravo et merci à Olivier NOREK (que je ne connais pas).

Un bon roman policier mais on se perd dans la multiplicité des noms (qui se ressemblent trop) et des personnages. Trop, c'est trop.
Pourtant je suis un grand habitué des auteurs islandais. L'auteur devrait prévoir un glossaire des personnages pour les non "fluent" en Islandais. Sinon une fin aussi invraisemblable qu'imprévisible. C'est à cela que l'on reconnait un bon écrivain de polar. Il arrive à "inventer" une fin qui ne soit ni bâclée ni stupide.
Je recommande ce livre et à Arnaldur INDRIDASON de diminuer les personnages importants du roman et surtout de leur donner des prénoms qui ne se ressemble pas.

Ce n'est pas à proprement parler un policier, ni un roman noir. Ce serait plutôt un drame psychologique. In fine, pas de mort, pas de policier, mais un panel d'escrocs.
Ce roman est assez "lent" à lire bien que les personnages peu nombreux (merci à l'auteur) soient bien identifiés.
D'avoir choisi de confronter deux avis sur la même histoire est très intéressant et colle parfaitement avec cette histoire. Un livre miroir.
Le dénouement est inattendu, mais je reste sur ma faim.
En résumé, un livre imaginatif, bien écrit avec une psychose ficelée.
À lire.

Comme avec KISANGA ou nous partions au CONGO pour une course poursuite dans la savane, avec sur L'AUTRE RIVE nous partons à Saint Nazaire, dans la région de Pornic en passant par Noirmoutier. Un livre passionnant de bout en bout et ces 528 pages vous soufflent comme le vent de l'Océan. Cet auteur sait vous fondre dans son histoire et vous accroche d'un bout à l'autre.
Si vous habitez ou connaissez la région, ce polar ne peut que vous plaire.
Les "autres" aussi, bien sûr.

Ce dernier message de BEUGLET est à la fois un livre trop long et pas bien écrit. Pourtant ses précédents policiers avait du corps et des "aventures" compréhensibles. Là, c'est une suite de situations compliquées et peu crédibles. Son nouveau héros est une femme sans étoffe à qui tout réussi. Elle même ne comprends pas toujours la situation. Et la conclusion est ubuesque.A part pour certain génie (peut-être). Passez votre chemin chers amis lecteur.