Monsieur Ray French, Sachez tout d’abord que vous avez un très beau nom. Il n’a pas dû être facile à porter au Royaume-Uni. En France, c’est votre prénom qui vous aurait coûté.
C’est une histoire formidable que nous raconte Luc Folliet dans son livre « Nauru, l’île dévastée », paru chez La Découverte. L’auteur raconte par le détail l’aventure post-coloniale de Nauru, petite île du Pacifique pas plus grande qu’un point, un pixel si vous êtes d’jeun, sur une carte.
Je viens de tourner la dernière page de ton livre « Journal d’un cobaye ». Total respect. Pendant près d’une année, tu as décidé de te livrer à des expériences toutes aussi farfelues les unes que les autres.
Alors que butais avec une grâce sans pareille sur le rayon humour de ma librairie préférée, votre livre m’est tombé dessus : « Dieu est un pote à moi ». Quelle idée !