BOUH

Biographie

Je partage mon temps entre la fin de mes études en finance et la lecture, ma grande passion.

Grande amatrice de littératures américaine et française du 20ème siècle, j'apprécie également beaucoup la littérature japonaise que je souhaite mieux connaître.

Dans ma bibliothèque idéale, j'y inscris tous les livres que je souhaite un jour lire. Si vous voulez me faire un cadeau, vous savez où piocher ;)

Je tiens un site Internet sur la littérature LecteursCompulsifs.com sur lequel je critique mes lectures et parle de l'actualité littéraire. Je suis également membre du club de lecture de la librairie Dialogues.

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    L’intrigue en elle-même, si elle est simple, n’en reste pas moins passionnante. On se plait à lire un petit roman dont les pages tournent très vite.

Impossible pour moi de donner une note à ce livre

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    Impossible pour moi de donner une note à ce livre

    En quelques mots, ce livre n’a aucun intérêt littéraire. On ne peut pas parler de "roman", ni de "nouvelle", mais presque de "document", car l'histoire qui y est racontée est loin d'être achevée. Restons naïfs en croyant la bonté du fils qui a voulu partager au monde entier le travail ultime de son père dans un but purement culturel (et certainement pas financier...). Je partage l’idée des critiques professionnelles qui considère que ce roman peut nuire à la réputation et à l’image que les lecteurs s’étaient faites de Nabokov. C’est finalement un écrivain comme un autre, qui fait des fautes et qui hésite.

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    Lorsqu’il aperçoit pour la première fois la jeune et belle princesse Zinaïda, Vladimir Petrovich Voldemar (qui, traumatisé par ce livre, deviendra plus tard l’affreux-méchant d’une célèbre saga pour ados) s’épanche sur plusieurs dizaines de pages afin de nous décrire sans rien omettre ce que n’importe quel autre boutonneux aurait pu expédier en parlant de « coup de foudre ».

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    Nous sommes en effet entre les 19ème et le 20ème siècles lorsqu’au cours d’une réception au sein d’un palais moscovite, le Tsar lui-même apprend que des hordes venues d’Asie s’apprêtent à envahir la Sibérie, menaçant ainsi l’intégrité d’un empire réputé imprenable. Si les dirigeants soviétiques ne s’inquiètent pas outre-mesure en ce qui concerne la pérennité de leur nation, ils redoutent en revanche les probables massacres civils et l’assassinat du frère du Tsar, car un traître animé par la revanche et la honte, Ivan Ogareff, a juré la perte du Grand Duc.

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    Jean Marie Gustave – aka J. M. G – Le Clézio a été le lauréat du prix Renaudot à seulement l’âge de 23 ans pour son premier roman, Le Procès-verbal. 45 ans plus tard, en 2008, le prix Nobel de littérature lui est décerné en tant qu’ »écrivain de la rupture, de l’aventure poétique et de l’extase sensuelle, explorateur d’une humanité au-delà et en-dessous de la civilisation régnante ».