o n l a l u
La valse des adieux

On a toujours quelque chose de bon à prendre dans un roman de James Lee Burke. Eclairs ou fulgurances, souffle ou atmosphère, confrontations musclées ou confessions poignantes... les pépites se nichent entre deux de ces digressions lyriques qui sont sa marque de fabrique. En cela, « La Fête des fous

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