Julien L. Libraire

Un roman qui ne laisse pas indifférent et qui s'inscrit dans la lignée de la grande littérature américaine.

Caroline Libraire
En effet, il n'y a qu'un mot : "Féroces"...

Ce roman, autobiographique, a pour cadre la Virginie des années 50-60, époque de la jeunesse de Robert Goolrick, dans une banlieue américaine de classe moyenne.
Les parents de Robert sont les personnes les plus admirées, pour ne pas dire les plus adulées, de leur petite société.

L'ODYSSEE D'HOMER... J. SIMPSON

Les secrets de famille sont souvent les secrets les mieux gardés au monde. C’est ce que souligne l’écrivain américain Robert Goolrick dans son roman « Féroces », un ouvrage intense et impitoyable.

Le livre est envoûtant. Le récit est poignant ; l'écriture, crue ; le langage, violent. Des passages sont certes drôles mais d'autres sont terriblement tragiques. On rit, on s'émeut, on pleurerait presque... Le jeune Robert Goolrick se met à nu en prenant le risque de tout perdre... Ce qui est terrible, ce sont ces apparences à conserver, toujours, pour préserver l’image si belle et si élégante de cette famille modeste mais "modèle", malgré le prix à en payer.

A lire absolument, tant ce récit ne peut laisser indifférent.

Hélène-Lecturissime
Un très grand roman.

La puissance de l’écriture nous emmène allègrement sur les traces de cette famille si tourbillonnante. Le récit est passionnant, envoûtant, drôle quelquefois, tragique souvent, décalé tout le temps.

- Le narrateur entre dans le vif du sujet de façon subtile et délicate : il plante le décor, parle de lui avec sincérité, peint quelques scènes familiales pour permettre au lecteur de cerner sa famille avant de véritablement ouvrir la porte qui mène aux vérités effrayantes… Ces vérités sont alors d’autant plus puissantes qu’il ne se perd pas dans le pathos et nous livre un récit très pur de ce qu’il a vécu.