J’avais commencé ce livre et bout d’un trentaine de pages, je l’avais refermé pour deux raisons : l’histoire à laquelle je n’arrivais pas vraiment à accrocher mais surtout à cause du langage de Virginie Despentes. Vu toutes les critiques élogieuses, je l’ai ré-ouvert et je l’ai fini. Alors, non ce n’est pas un coup de cœur, et non, je n’ai pas aimé ce livre.
Sur la route, Lucie une femme hétéro déprimée fait la détective privée, lancée dans Paris à la suite d’une adolescente, Valentine, classe moyenne, élevée par son père écrivain peu connu, et une belle-mère qui a deux filles, plus une grand-mère paternelle.
Couverture jaune flashy, titre et nom de l’auteur en très gros caratères... Dur de passer à côté d’Apocalypse bébé, le dernier roman de Virginie Despentes.