Thierry C.

Vincent le barbeyeur.

«Il y a des jours, je m’arrête dans la cour et je regarde, durant que je peux, que je suis encore là. Je me dis en moi-même que je me plais à être dans c’te cour.
Sûrement là que j’ai appris à marcher, là que je m’amusais en tout cas le jeudi et le dimanche si ma mère n’avait pas d’ouvrage pour moi.
Et puis après, dame, j’ai travaillé, mais la cour n’a pas changé...»