Pascale B.
Les filles du lac

Clara et Chloé sont jeunes, fusionnelles, s’exilent tout l’été dans un chalet de leur enfance pour se réparer des blessures amoureuses et/ou corporelles.
Fuyant la civilisation en quête de guérison, elles cherchent « leur solution » aux déceptions de la vie et des hommes.
Roman d’amitié à deux voix, où chacune raconte l’autre avec complaisance et sensibilité.
L’écriture de Mikella Nicol est divinement poétique révélant son talent à photographier les choses pour les nommer. Avec habileté, l’auteur nous immisce dans l’hypersensibilité émotionnelle de l’adolescence et sa fragilité.

« Nous avons vécu le bonheur duquel on ne se relève pas »

« Il lui fallait prendre son visage et en faire un joli mensonge »

Lucile S.
Blue, blue, electric blue

Une amitié fusionnelle lie deux jeunes femmes depuis leur enfance. Elles ont pour point commun de se sentir inadaptées au monde qui les entoure : l’une se débat avec son corps, l’autre essaie de se défaire d’une emprise amoureuse. À vingt ans, tout devrait être possible, puisque, c’est bien connu, on a la vie devant soi. C’est aussi ce que se dit leur groupe d’amis, qui se tient à distance de ce mal-être fondamental, celui qui risque d’aspirer vers le vide. La vraie rupture intervient à l’occasion d’un été dans le chalet familial du village de leur enfance. Elles ne réchapperont pas de ce moment de bonheur indépassable. Un roman « bleu » pour questionner la marginalité, dans une ambiance éthérée laissant la plus belle part à la nature.