Serge W.

Les grands-parents maternels d’Agnès Desarthe vivaient rue du Château des Rentiers. Le charme, la fantaisie et la douce ironie de l’autrice opèrent dans ce joyeux bazar mémoriel et intime, dans ce pêle-mêle d’anecdotes savoureuses et sensibles où il est question de gâteau, du temps qui passe et du corps qui n’a plus vingt ans.
Mais, tant que nous sommes vivants… Rêvons, imaginons et tâchons simplement d’être heureux !