Thierry C.

Comme en 14 !

Comme d’autres attendent, fébriles les oreilles tendues, la dernière galette de Frédéric François ou d’Adamo, moi, lecteur fiévreux l’oeil pendu sur l’horizon vitré des librairies, je scrute le dernier pot de beurre de mon cher Echenoz.

L’écrivain désinvolte et désabusé à l’écriture «court-métrée».
A la Jacques Tati.