Rachele B.

Barcelone.

Les oeuvres les plus emblématiques du célèbre architecte Gaudi, deviennent le théâtre de crimes sanglants!

A la poursuite du "Bourreau", un duo atypique d'enquêteurs !

Critique sociale, hommage à Gaudi, découverte de la face sombre de Barcelone, ce roman vous entraîne sur de sombres chemins !

Alex-Mot-à-Mots
Barcelone, Gaudi, policier

MAGISTRAL !

Pour le premier roman policier de l’auteur, celui-ci entre directement dans la cour des grands.

Ce polar est mené de bout en bout fort intelligemment, on ne lâche pas un tel livre si bien écrit.

Tous les ingrédients sont là : pressions politiques, énigmes maçonniques, moeurs dissolues et presse à sensation, sans oublier une touche d’humour avec les tee-shirts de la sous-inspectrice, la futur ex-femme de Milo qui ne cesse de le harceler au téléphone, et la douleur non cicatrisé du héros.

Un roman riche avec pour toile de fond la ville de Barcelone (et un peu la Barcelonetta) et l’oeuvre incontournable du génie incompris de son temps, Gaudi.

L’auteur dresse un portrait d’une ville devenue une sorte de Disneyland autour des oeuvres de l’architecte. Ce qu’on ne pourrait lui reprocher. On sent tout de même un faible pour la Sagrada Familia, si bien décrite.

Avec les inspecteurs, on parcours les rues de la ville de fond en comble, des quartiers le plus chics aux quartiers touristiques. (Manque peut-être le Barrio Gotico, mais il n’est pas praticable en voiture).

LE roman policier de l’été.

L’image que je retiendrai :

Celle de la cellule d’enfermement des victimes, dessinée par Gaudi, et reproduite à l’identique.

https://alexmotamots.wordpress.com/2015/07/10/le-bourreau-de-gaudi-aro-sainz-de-la-maza

sandrine57

La Predera, fierté de Barcelone qui exhibe les œuvres de Gaudi comme les bijoux qu'ils sont, vient d'être le lieu d'une sordide mise à mort. Après cinq jours de captivité, Eduard Pinto y a été brûlé vif par un tueur insaisissable qui donne du fil à retordre au GEHME, le groupe spécial homicides de la ville. Pour les sortir de l'impasse, la juge Cabot possède un atout maître : Camilo Malart, Milo pour les intimes. Ce flic intuitif et pugnace a été mis à pied et attend son procès après que son neveu Marc ait subtilisé son arme de service pour se mettre une balle dans la tête. Émotionnellement instable et très perturbé, Milo est réintégré dans le groupe, à condition de suivre une thérapie et d'être chaperonné par la sous-inspectrice Rebeca Mercader. Ensemble, ils se lancent sur les traces d'un cruel tueur qu'ils soupçonnent prêt à récidiver; théorie qui se confirme quand un deuxième notable de la ville est enlevé.