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Présentation
Le syndrome de l'imposteur est un terme à la mode qui n'est utilisé qu'au masculin. C'est en partant de ce constat, au gré de ses rencontres lors des formations et des conférences qu'elle anime que Marine Bruneau s'est posé trois questions : existe-t-il un syndrome de l'Impostrice ? Si oui, d'où viennent ses spécificités ? Comment le combattre ? Loin du business du développement personnel, Marine propose des pistes de réponses systémiques aux questions de légitimité qui se posent en particulier pour les femmes. Elle s'appuie pour cela sur une large enquète et le témoignage de femmes occupant des postes à responsabilité sur le territoire breton. Sans jamais égratigner les hommes de manière individuelle ni faire de procès d'intention, cet essai tente de comprendre ce qui crée le syndrome de l'impostrice, mais aussi ce qui le nourrit. Parce que tout le monde devrait pouvoir se ranger du côté des Légitimes, ce livre permet de mieux se saisir de notions-clés au centre de nos parcours de vie
Caractéristiques
| EAN13 | 9782843469565 |
|---|---|
| ISBN | 978-2-84346-956-5 |
| Éditeur | Coop Breizh |
| Date de publication | 5 avril 2023 |
| Nombre de pages | 160 |
| Dimensions | 21 x 14,7 x 1,2 cm |
| Poids | 300 g |
| Langue | français |
| Fiches UNIMARC | S'identifier |
Ce qu'ils en pensent
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Sophie H.Toutes légitimes !De l'importance de l'écriture inclusive : en quoi le syndrome de l'impostrice est-il différent de celui de l'imposteur ? "Vous le vivez [le syndrome de l'imposture] plus que les hommes parce que vous vous trouvez dans un système qui vous rappelle à tout instant que la norme, ce n'est pas vous."
Marine Bruneau, experte en égalité femme homme, fondatrice et dirigeante de l'entreprise Egaluce, constate, analyse, puis propose des pistes pour ouvrir les portes de nouveaux possibles pour les femmes.
La démarche est à la fois individuelle : se rendre compte de nos biais, des discriminations dont nous sommes les victimes, se soutenir entre femmes, s'éduquer et se visibiliser ensemble et pour toutes. "Nul besoin que quiconque vous ferme une porte si vous ne voyez pas qu'il y a une porte."
Et systémique, car nous ne sommes pas responsables des systèmes patriarcal et capitaliste dans lesquels nous (sur)vivons, et qui nous intiment de rester bonnes et sages. NON, nous n'en sommes pas responsables, nous en sommes les victimes. Alors, déculpabilisons de nous sentir impostrices. Comment pourrait-il en être autrement ?
Merci pour ce livre qui ouvre les yeux : Nous sommes toutes légitimes !
