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Présentation
Un soir d’été à Brooklyn, Val et June, deux adolescentes inséparables, sortent de leur quartier résidentiel et vont traîner près des docks mal fâmés. Elles décident d’embarquer sur un canot pour voir la ville depuis l’East River. De la terre ferme, Cree, un jeune noir, qui les suit des yeux, s’aperçoit qu’elles sont entraînées par les courants. Au matin, Jonathan, professeur de musique au collège, retrouve Val étendue sur les rochers, inconsciente. June a disparu. Dans le quartier, où plusieurs communautés se côtoient sans se mélanger, la nouvelle suscite une vive émotion. La police lance ses recherches et suspecte particulièrement Cree. Tandis qu’à travers ce fait divers les habitants règlent leurs comptes, Val, qui semble ne se souvenir de rien, espère
le retour de son amie. Isolée dans ses remords, elle ne trouvera un soutien qu’auprès de Jonathan. Finalement le corps de June sera retrouvé et les policiers concluront à une mort accidentelle. Sur fond de violence et de
drames humains, les personnages dévoilent tour à tour leurs blessures, leurs rêves, leur volonté de continuer à vivre.
Caractéristiques
| EAN13 | 9782867466915 |
|---|---|
| ISBN | 978-2-86746-691-5 |
| Éditeur | Liana Levi |
| Date de publication | 3 avril 2013 |
| Collection | Littérature |
| Nombre de pages | 352 |
| Dimensions | 21 x 14 x 2,4 cm |
| Poids | 415 g |
| Langue | français |
| Langue d'origine | anglais |
| Fiches UNIMARC | S'identifier |
Ce qu'ils en pensent
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nymeriaPlutôt déçue par ce roman dont j’espérais autre chose. Je suis bon public quand il s’agit de littérature américaine avec ses laissés pour compte et sa pluriethnicité, ce qui était supposé être au cœur du roman de Ivy Pochoda. Si l’histoire n’est pas mauvaise dans l’absolu, la vérité étant plus simple (même si plus tordue) qu’il n’y parait, je n’ai pas été ébloui par le style de l’auteur ni par la narration à laquelle je n’ai pas adhéré. La manière qu’a l’auteur de sauter d’un personnage à un autre en prenant le train en cours de route, n’a pas réussi à retenir mon attention. Avec son mode de narration choral et ses détails de la vie dans un quartier multiculturel, on ne se fixe jamais vraiment sur un aspect particulier, ce qui donne l’impression d’un récit désordonné, sautillant, qui ne retient jamais complètement l’attention du lecteur.
