Je n'ai rien compris

  • Martin B. Libraire
    Je n'ai rien compris

    Ou je n’ai rien compris, ou ce roman de Fabrice Caro est (encore) une longue métaphore du temps qui passe et de nos vies qui nous échappent. C’est peut-être bien ça, nos vies, une piscine qui verdit et des insectes dedans, un, puis deux, puis trois, puis quatre… Et nous n’y pouvons rien.

Délicieux...

  • Martin B. Libraire
    Délicieux...

    Encore un livre dans lequel les protagonistes sont délicieusement débiles.

Il y a des auteurs qui vous époustoufleront toujours.

  • Martin B. Libraire
    Il y a des auteurs qui vous époustoufleront toujours.

    Deux pages, et me voilà figé. Je dois ralentir, je le sens, lire et relire tout doucement. Il s’agit de ne pas perdre la moindre miette de la langue de Frégni.

    Quatre pages, et j’ai l’impression de ne plus savoir lire, de n’avoir jamais lu, jamais rien vécu, je me découvre des sensations bizarres. Je tremble un peu, peut-être suis-je un peu sensible.

    Six pages et j’ai maintenant la certitude qu’on m’a roulé dessus, qu’on m’a arraché à moi-même, et que je ne veux plus revenir.

    Assez de pages pour aujourd’hui.

    Il y a des auteurs qui vous époustoufleront toujours.

Un chef-d’œuvre.

  • Martin B. Libraire
    Un chef-d’œuvre.

    J’ai lu ce livre il y a quelques temps maintenant. Je le découvre en poche, émerveillé, et je ne sais plus quoi dire… Alors je l’ouvre et tout de suite, la magie opère de nouveau, les souvenirs remontent, me voilà en enfance, et tout comme le héros de l’histoire, je retrouve avec stupeur mes joies, mes peurs et mes désirs innocents…

  • Martin B. Libraire

    Une dame vieillissante sort chaque soir les chiens et chaque soir, les chiens portent de nouveaux noms. Un jour, elle arrête tout. Un roman tendre sur le temps qui passe, sur la vieillesse, l'enfance, et l'amour que l'on porte à ses parents... Sortez, Rose, Marguerite, Primevère, sortez, Citron, Poire, Framboise.

    "Je l'imagine ce sourire-là. Il est là, présent en son absence".