VERO

Biographie

Je ne sais plus comment je suis tombée en littérature mais je sais pourquoi. Parce que dès j'ai plongé les yeux dans un livre, je suis partie. J'ai tout de suite compris que les mots avaient le pouvoir de m'emmener vers d'autres ailleurs. Qu'ouvrir un livre, c'était voyager. Dans l'univers des jouets de "Oui Oui" ou dans celui rempli de noeuds, de volants et de gentils garnements de la Comtesse de Ségur, dans les énigmes et les petites frousses du Club des Cinq, je me sentais bien partout. Je pouvais vivre cent vies à la fois! A 11 ans, un livre m'a fait versé des larmes. C'était Mon bel Oranger de Vasconcelos et là, j'ai su, que définitivement, je ne vivrai jamais sans livres à ma portée. Ils sont des voyages, des émotions, des amis, des confidents aussi. Ils sont un monde dont je ne peux me passer, une ouverture sur un ailleurs débarrassé des petits fardeaux du quotidien: un refuge.

La ville des pires désirs

  • Vero
    La ville des pires désirs

    Avocat spécialisé dans la défense des droits de l’homme à Mexico, Miguel Angel Morgado est sollicité par un des ouvriers qui travaillent à la construction de sa bibliothèque. Blondie, ébéniste, lui remet une enveloppe remplie de photos et de coupures de presse des années 50 et demande à l’avocat de retrouver son père disparu suite à une affaire de trafic d’héroïne en 1951 à Tijuana.

Tortueuse exploration de la mémoire

  • Vero
    Tortueuse exploration de la mémoire

    Voilà un bien étrange livre. Roman ? pas vraiment. Récit ? pas tout à fait non plus. Il mêle monologues intérieurs, considérations médicales, notes biographiques avec pour point de départ, le geste monstrueux de Monsieur T., qui dans un accès de démence, a poignardé sa femme. Mais Monsieur T. ne s’en souvient pas : il est atteint de la maladie d’Alzheimer et s’oublie lui-même.

Rencontre au crépuscule

  • Vero
    Rencontre au crépuscule

    Dans une chambre d’hôtel, un homme grimpe sur un tabouret et glisse son cou dans un nœud coulant. Il attend. La porte s’ouvre sur un autre homme. D’un coup de pied, il fait chuter le tabouret. Il referme la porte.

Fantaisie identitaire

  • Vero
    Fantaisie identitaire

    « Anna ? » interroge William Stein, photographe, qui a, apparemment, rendez-vous avec Anna à la terrasse du Libre-Echange.