comme son nom l'indique

  • Max L.
    comme son nom l'indique

    Avez-vous déjà entendu parler des nombreux effets secondaires de l’art de vivre mieux ? Non bien sûr, il n’y en a pas. Le simple fait de réfléchir à sa vie, de chercher à y mettre de l’harmonie, ne serait ce qu’en mangeant mieux, qu’en faisant du sport, en changeant ses rythmes de vie de son quotidien, suffit à rendre une vraie « santé de l’âme et du corps » sans effet indésirable !

    Art et vivre ! Deux termes dont la sonorité s’accordent si bien. Aucun artiste ne nous contredira dans le fait que l’art aide à vivre. Mais vivre est- il un art ? Vivre est un fait biologique mais cette vie n’est que « vivotage » si elle n’est relayée par la vraie vie ; Mettre de la vie dans sa vie, c’est participer pleinement à son propre accès au bonheur, c’est passer de la vie à l’existence.

    La vie de notre monde est dur, malgré tout .Victimes de la guerre, du terrorisme, de la calamité naturelle, de la maladie, de la faim, de la crise financière…litanie des tragédies humaines, que de blessure, que de souffrances dans ce monde ici-bas. Notre société de la technique et de la raison souffre d’un fléau sociétal et chronique que l’on pourrait nommer « dépression collective ». Deux siècles après Rousseau et les lumières, la recherche du bonheur ne semble pas avoir abouti.

    Normalement, la technologie devrait nous amener une civilisation des loisirs, du travail facilité par les machines, mais malheureusement, nous n’avons hérité le plus souvent que des cotés négatifs de ces progrès : dépression, harcèlement, burn out, insomnie, angoisse, panique, anxiété, agoraphobie, fibromyalgie, l’hyperkinésie, allergies…la liste est longue de ces affections qui se multiplient depuis ces dernières années.

    C’est donc à la fois notre air, notre assiette et notre univers mental qui sont pollué. De plus, les modèles classiques de la société ne nous conviennent plus mais que nous n’avons toujours pas trouvé de nouveau modèle satisfaisant.

    L’art de la vie, l’art de vivre est donc devenu une nécessité vitale. Pour ce qui est des traitements, c’est de médicaments individuels et collectifs dont nous avons besoin. On ne peut que s’occuper des traitements personnels, et peut-être changer le monde commence par se changer soi même ?

    Art de vivre, énergie chinoise est une systémique de l’harmonie. La médecine traditionnelle chinoise et la pensée chinoise sont sans doute deux piliers de cette systémique…

    • Dr Daniel Scimeca, président du Syndicat de la Médecine Homéopathique (SMH), directeur d’enseignement à la Société Médicale de Biothérapie (SMB), secrétaire général de l'Union Collégiale des Chirurgiens, Médecins et Spécialistes Français (UCCMSF). Auteur d'une vingtaine d'ouvrages et de multiples publications en homéopathie, phytothérapie, sophrologie, aromathérapie et médecine chinoise. Par les nombreux travaux scientifiques qu’il a consacrés à ces disciplines, il jouit d’une grande vertu et d’un grand prestige dans le monde des médecines alternatives et complémentaires.

    • Collaborateur du Dr Scimeca, M. Shuai Zhang est spécialiste de la Chine, conférencier médiatique, auteur d’un grand nombre de publications. Il enseigne la calligraphie, langue et civilisation chinoises dans des établissements à Paris.

comme son nom l'indique

  • Max L.
    comme son nom l'indique

    La médecine de demain doit respecter l’homme, l’humain dans l’homme, car sans cela il ne peut être question de médecine ou même simplement de thérapeutique.

    En ce sens, les médicaments de demain seront phytothérapiques…

    À la fois très moderne et très ancienne, la phytothérapie réunit en elle-même le passé et le futur dans une même préoccupation : soigner en harmonie avec ce que la nature nous offre. Elle représente une voie royale pour soigner sans nuire chaque fois que cela est possible.

    Les plantes sont de véritables laboratoires à fabriquer des molécules complexes. Des anti-cancéreux pleins d’espoir naissent de la transformation de substances extraites de la petite pervenche.

    La phytothérapie a besoin de son ancrage dans le passé et des études scientifiques d’aujourd’hui qui assoient incontestablement son action. Mais une telle aventure ne saurait s’improviser. Quelle plante ? Quand et où la cueillir ? Etre sûr de sa qualité, savoir comment extraire ce qui nous soignera. Ce monde merveilleux du végétal nous impose de bien le connaître afin de mieux l’utiliser.

    À travers ce guide, le Dr Daniel Scimeca et M. Shuai Zhang , deux spécialistes reconnus dans le monde nous offrent un voyage à travers le monde végétal. Il y retrace l’évolution de la phytothérapie et nous expose ses enjeux futurs pour une pharmacopée future, fiable écologique et efficace.

    • Dr Daniel Scimeca, président du Syndicat de la Médecine Homéopathique (SMH), directeur d’enseignement à la Société Médicale de Biothérapie (SMB), secrétaire général de l'Union Collégiale des Chirurgiens, Médecins et Spécialistes Français (UCCMSF). Auteur d'une vingtaine d'ouvrages et de multiples publications en homéopathie, phytothérapie, sophrologie, aromathérapie et médecine chinoise. Par les nombreux travaux scientifiques qu’il a consacrés à ces disciplines, il jouit d’une grande vertu et d’un grand prestige dans le monde des médecines alternatives et complémentaires.

    • Collaborateur du Dr Scimeca, M. Shuai Zhang est spécialiste de la Chine, conférencier médiatique, auteur d’un grand nombre de publications. Il enseigne la calligraphie, langue et civilisation chinoises dans des établissements à Paris.