COLLECTIF DES LECTEURS MASQUÉS

Un livre émotionnellement éprouvant, où la violence absolue de l'Iran post révolutionnaire côtoie chaque jour la finesse du parfum du jacaranda . Et l'on se demande, avec tristesse, avec colère, pourquoi les tyrans de ce pays plein de fleurs et de fruits magnifiques persistent priver ce peuple intelligent et cultivé de démocratie et de liberté .
A lire, à méditer, à partager.

L' Italie du Sud, les scooters pétaradants,le soleil, le dialecte, la misère, la violence:le monde de Rosa Ventrella n'est pas très éloigné de celui d'Eléna Ferrante, ni de celui de Silvia Avallone....
Un joli style fluide, limpide pour un premier roman trés séduisant.

D'une lecture à l'autre, je suis tombée, un peu par hasard, sur ce petit livre intemporel, écrit dans l'aprés-guerre par une jeune Espagnole de 23 ans. Une trame simple: l'arrivée à Barcelone d'une petite étudiante en littérature qui n'a rien (Nada), sauf ses rêves, et s'apprête à vivre sa vie misèreuse et affamée, perdue dans une lutte des classes insidieuse, qui ne dit jamais son nom .Un roman d'apprentissage douloureux et profond, . L'histoire familiale est sordide et dégage pourtant une sombre beauté .Un livre attachant .

Diptyque pour une critique à peine voilée de la politique de M. Thatcher et de Tony Blair, et leurs conséquences sur les mutations profondes subies par la scociété britannique dans les annéees 70 à 90, à travers le parcours d'une bande d'adolescents ( Bienvenue au Club) jusqu'à l'âge d'homme(le Cercle Fermé)
On s'attache aux personnages trés européens malgré l'évocation de quelques problématiques plus britanniques, comme l'Irlande en flammes et l'entrée dans la guerre en Irak), et surtout à l'humour
'' so british ''de Jonathan Coe. Et l'on mesure la pertinence de sa réflexion politique sur les origines du terrorisme .

Diptyque pour une critique à peine voilée de la politique de M. Thatcher et de Tony Blair, et leurs conséquences sur les mutations profondes subies par la scociété britannique dans les annéees 70 à 90, à travers le parcours d'une bande d'adolescents ( Bienvenue au Club) jusqu'à l'âge d'homme(le Cercle Fermé)
On s'attache aux personnages trés européens malgré l'évocation de quelques problématiques plus britanniques, comme l'Irlande en flammes et l'entrée dans la guerre en Irak), et surtout à l'humour
'' so british ''de Jonathan Coe. Et l'on mesure la pertinence de sa réflexion politique sur les origines du terrorisme .