GRACEDUBOIS

Biographie

" Tant que je bouquine, cela va bien."
Chateaubriand

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    Un conte métaphorique qui brosse le portrait d'une vieille dame dont les souvenirs s'égarent, la tête part en friche et un tigre hante les nuits. Avec subtilité et délicatesse, nous suivons Ruth sur ses chemins de solitude, de réminiscences et de courage. Adorable vieille dame, établie sur la côte australienne, qui s'efforce de renouer les fils distendus de sa vie face à une adversité redoutable.
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    À travers "Le Météorologue", c'est un hommage que rend Olivier Rolin à ces millions d'hommes qui ont cru à l'idéologie communiste et ses grands principes égalitaires. Tout au bout broyés dans les geôles de Staline, ces innocents seront les victimes d'une utopie dévoyée en régime totalitaire, d'une Grande Terreur à laquelle, ils n'auront rien compris.
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    A travers "Le Météorologue", c'est un hommage que rend Olivier Rolin à ces millions d'hommes qui ont cru à l'idéologie communiste et ses grands principes égalitaires. Tout au bout broyés dans les geôles de Staline, ces innocents seront les victimes d'une utopie dévoyée en régime totalitaire, d'une Grande Terreur à laquelle, ils n'auront rien compris.
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    De ces instants cueillis qui tissent la trame d'un vie, Herbjorg Wassmo construit un récit beau et poétique. Un vie-puzzle de petits et grands instants, marquants ou futiles, mais essentiels à la naissance d'un écrivain.
    Wassmo dit l'essence d'une vie par petites touches, la nature profonde d'un être en devenir, en quête de liberté et d'indépendance.
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    Les atermoiements de Nate au pays des femmes. Sous ses dehors policés, ce denier se révèle être un rustre, Jason le pontifiant ne se prend pas si au sérieux et Hannah la naïve au grand coeur met un petit peu de temps à comprendre qu'il est vain de sauver une relation minée par les lâchetés de son compagnon. Une galerie de personnages masculins complaisants (les hommes n'ont pas la part belle dans ce livre), de personnages féminins hystériques, pas tous c'est vrai (les femmes non plus). Le milieu littéraire et intellectuel new-yorkais apparaît suffisant, bien entendu, et ses écrivains avides de reconnaissance se jalousent férocement tout en faisant bonne figure.
    Oui, mais l'exercice de style est parfaitement réussi. C'est brillant et amusant. Adelle Waldman met au grand jour les travers de tout ce petit monde, appuie là où ça fait mal avec délectation, croque ses personnages non sans humour. Avec brio et intelligence, elle construit un roman sur des relations humaines qui ne flatteront pas notre ego.
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